La Bonne NourritureLe riz « Le roi de la nourriture en ce monde et dans l’Au-delà après la viande » Cultivé en rizière depuis des millénaires en Asie (Chine, Inde et ailleurs), le riz est aujourd’hui une céréale consommée à travers le monde entier. Il existe une grande variété de riz pouvant présenter des couleurs différentes selon la façon de le cultiver. Cependant, une distinction générale est faite entre le riz brun ou riz complet qui est un riz entier débarrassé de son enveloppe extérieure fibreuse, non comestible (la balle), mais ayant conservé le germe (l'embryon) et le son qui le rendent plus nutritif, et le riz blanc qui, lui, est décortiqué et poli et qui a alors perdu une grande partie de ses éléments nutritifs. Le riz contient du magnésium, des fibres alimentaires, du sélénium, du manganèse et une variété d’antioxydants en petite quantité, avec une charge glycémique modérément élevée. Il est connu pour ses effets contre la diarrhée. Riche en amidon, il doit être rincé pour en faire partir le surplus ainsi que les résidus. Il est très apprécié dans les hadiths des Infaillibles(p) : « Le maître de la nourriture en ce monde et dans l’Au-delà après la viande. » disait le Messager de Dieu(s) (de l’Imam ar-Ridâ(p) in Sahîfah ar-Ridâ(p) cité in Mustadrak al-Wasâ’il vol.16 p376 N°20237) « Le 1er grain qui a reconnu l’Unicité de Dieu, ma Prophétie, la légation de mon frère et le Paradis pour ma nation monothéiste, est le riz, disait-il(s) également. Et : « Si le riz était un homme, il serait plein de mansuétude. Et : « le riz rassasie l’affamé et facilite la digestion pour le rassasié » De lui(s) également : « Dans toute chose que la terre fait sortir il y a un mal et une guérison sauf le riz dans lequel il y a une guérison sans mal. » (de l’Imam as-Sâdeq(p) cité in Mustadrak al-Wasâ’il vol.16 p376/7 N°20238) L’Imam as-Sâdeq(p) vantait ses propriétés adoucissantes et émollientes en cas d'irritations intestinales et de diarrhées. « Quel bon médicament le riz, froid, juste, exempt de tout mal ! » (Mustadrak al-Wasâ’il vol.16 p377 N°20239 citant al-Makârem de Tabrisî)
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