LA MORT, LA RÉSURRECTION ET L'ENFERLe croyant ressent le besoin de communiquer la bonne nouvelle à d'autres croyants encore vivants et de leur dire que la promesse de Dieu est vraie et qu'ils n'ont rien à craindre. Mais, il lui est interdit de faire cela. La mort de l’incroyant
Il fait face à la mort qu'il a fuie tout au long de sa vie. Il souffre des affres de la mort durant son agonie. Les anges arrachent son âme en lui annonçant la triste nouvelle du châtiment dégradant qu'il va subir dans l'enfer éternel. Les anges de la mort lui fouettent le visage et le dos. Son âme est arrachée dans la douleur. Son âme est arrachée quand elle arrive à la gorge, et personne ne peut rien pour le mort. L'âme est arrachée dans la souffrance alors que la personne continue à nier la vérité. Au moment de la mort, aucune confession de foi ni manifestation de repentir n'est acceptée. Il y a aussi des leçons à tirer de la mort du corps que tout le monde peut constater. La façon dont la mort clinique réduit l'être humain à l'état de cadavre inerte et insignifiant, permet aux vivants de découvrir plusieurs vérités importantes, d'où la nécessité de parler de la "mort clinique†et de la tombe.
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