LA VERITE SUR LE SHIISME ET LA REFORME- dans la page 6 - “au nom d’allah, louange à allah et prière sur le message d’allahâ€. - voici sa première opposition au shi’isme tant traditionnel qu’actuel et à la sunnah authentique du prophète(s.a.w) qui enseigna aux musulmans comment appeler la prière d’allah sur son messager: “dites: o allah prie sur muhammad et la famille de muhammad “ou encore “ne faites pas sur moi de prière mutilée !" on lui demanda alors: “et qu’est ce qu’une prière mutilée ?" il répondit “c’est quand vous dites seulement: Ô allah prie sur muhammad...!" y a t-il plus grave que cette contravention émanant d’un homme qui prétend être né et élevé au sein de la plus grande autorité shi’ite connue dans l’histoire du shi’isme depuis la grande absence jusqu’à nos jours, à savoir son grand-père as-sayyid abul-hassan al-mûssawî (miséricordieux d’allah sur lui) ? si l’auteur du “shi’isme et de la réforme†avait été élevé dans une maison de science le voici qui renie les mérites de cette famille qui veilla à son éducation et son instruction - dont il est vide en fait - et qui remet en question la prière sur ahlul-bayt, ancêtres du sayyid abul-hassan, son grand-père. - dans la page 6 - il dit encore: †le coeur du réformateur reste dans son combat pour la défense et la sauvegarde de la foi qu’il veut affermir dans la société, comme une montagne hautaine que les tempêtes n’arrivent pas à ébranlerâ€. le dr. el-mûssawî parle ici de son grand-père et de son père -clémence d’allah sur eux- qui voulaient réformer les croyances des shi’ites et les protéger de toute déviation. le lecteur avisé saura sans peine le contresens dans les propos d’el-mûssawî. pour s’en convaincre, il suffit de revenir à ce qu’écrit sayyid abul-hassan al-mûssawî dans son épître “wassîlat-u-najat†et d’en comparer le contenu avec les thèses avancées par son petit fils mûssâ elmûssawî. ce dernier, au lieu de confirmer les mérites de son grand-père qui avait toute la foi shi’ite, en particulier, sa croyance en la nomination de l’imam ali, al-khoms (le cinquième, le quint), le mariage temporaire, la taqiyya et d’autres questions taxées d’innovations par son petit fils, il alla sciemment ou à son insu vers l’accusation de son grand-père d’hérésie et de déviation. - dans la page 6 -
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