LA VERITE SUR LE SHIISME ET LA REFORMEvu l’étendue de ces possibilités, le dr. el-mûssawî sait qu’il peut être utile et surtout faire très mal quand les ennemis de l’islam le lui demandent. toutefois, le point faible et irrémédiable c'est l’histoire de cet homme, entachée d’immoralité dangereusement connue par tous et surtout par les différentes sphères des décisions politiques qui, faute de mieux, l’apprécient à sa juste valeur et s’en servent à terme. pour ceux parmi les fils de cette communauté, qui n’ont pas connu son histoire ou entendu parler de ses déviations continuelles, nous présentons des exemples disparates de ses archives personnelles. 1er exemple: le document de la savak(services secrets à l’époque du shah), portant la date du 2 1/6/1966, parle du regard négatif que portent les marji’ (références, autorités religieuses) sur el-mûssawî «après les investigations habituelles, il apparaît que le susnommé alla en irak chez sayyid khumaynî qui refusa de le recevoir. l’intéressé écrivit alors à shari’at madârî pour offrir ses services en échange d’un salaire mensuel de dix à vingt mille tuman(monnaie iranienne). la réponse à sa requête fut aussi négative ». 2ème exemple: le document envoyé par le département n°315 de la savak à la présidence du département n°316 du même service, parle des résultats des investigations effectuées autour de la place scientifique qu’occupe ei-mûssawî. 1- selon la délégation irakienne de la savak, la promesse de lui délivrer une licence en théologie qu’octroient les grands marji’ ne fut tenue que par sheikh-ali kâshif al-ghitâ’, l’un des spiritualistes connus pour leur soutien accordé au régime en place.
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