La Dernière Mission DivineCette valeur transcendante, provient d'une foi consciencieuse fondée sur le monothéisme pur et l'Uni cité sublime. Celui qui se livre à cette vague mugissante et qui étincelle, au tréfonds de son coeur, la torche de la conscience islamique, ne se vouera qu’à sa foi pure, et à concrétiser son idéal. La bonne nouvelle par Jésus de la prophétie de Mohammad
Un des piliers doctrinaux des musulmans est d'avoir foi dans les prophètes antérieurs. Le prophétisme et la lignés prophétique, dont le seul objectif consiste à élever l'homme, à l'éduquer dignement à un tel point qu'il puisse atteindre le sommet de l'Unicité divine, - se situent au coeur de la croyance islamique. "Dites : Nous croyons en Dieu, à ce qui nous a été révélé, à ce qui a été révélé à Abraham à Ismaël, à Issac, à Jacob, et aux tribus, à ce qui a été donneé à Moïse, et à Jésus de la part de Seigneur: Nous ne faisons de différence entre aucun d'eux. Nous sommes soumis à Dieu" Or, la mission prophétique fut prédestinée dès l'éternité, en vue de sonder le terrain. La succession ininterrompue des messagers révèle le signe du déroulement progressif au niveau de l'orientation divisible. De même, que l'homme, dans l'histoire de son existence a évolué graduellement, et à la mesure de sa maturation intellectuelle, les prophètes, eux aussi, poursuivaient leur chemin en harmonie avec cette progression, Parfois en révélant une certaine caractéristique du prophète postérieur, ils annonçaient la bonne nouvelle de son apparition. Cette tentative fut destinée à mettre en lumière les liens étroits et réciproques et la parenté d'inspiration qui existaient entre les fondateurs des religions divines. Bien que la simple prédiction, à elle seule, ne pourrait être décisive et valable pour témoigner de la véracité d'un prophète, pourtant cela servirait comme une lueur par laquelle on pourrait retracer les traits distinctifs du personnage en question et connaître le vrai portrait du prophète véridique chargé d'une mission Divine; et, au moins, d'en discerner les particularités de sa prophétie. Si les prophètes, en annonçant la prédiction, avaient désigné par son nom le futur envoyé, cela aurait pu être sujet d'abus de la part de personnes mal intentionnées, du fait que la nomination n'est qu'arbitraire et conventionnelle. Il n'en irait de même, s'ils fixaient le moment précis de son avènement : car des imposteurs de la prophétie pourraient machiner les choses préalablement pour mieux dissimuler leur ruse. Au demeurant la multiplicité de prétendants entraîne généralement des divergences de vue; elle provoquerait au moins, au sein de la société, des attitudes divergentes, sinon contradictoires. Bien que l'esprit attentif doué de la raison et de la lucidité soit capable de discerner un messager céleste, d'éléments futiles et égarés, il ne faut pas oublier que, dans une condition aussi confuse, nombreux sont ceux qui s'illusionnent et tombent dans le piège. C'est pourquoi, les prophètes ont fait allusion au caractère de l'envoyé à venir, afin de permettre de le distinguer d'un autre. A partir de cela, c'est à l'homme de chercher objectivement, à la lumière de l'ensemble de signes concernant le personnage en question. C'est alors, à lui de découvrir la vérité, de bon coeur et sans aucune arrière pensée, ni malveillance. En examinant la question sous un autre angle, on constate qu'en principe, ni le judaïsme, ni le christianisme ne se prétendent en tant qu'éternels et derniers. Ni Moïse, ni Jésus ne se déclarent comme le sceau; le dernier prophète. Au contraire, ils firent escompter à leurs adeptes l'apparition d'un autre prophète. Alors que l'Islam entend se fonder sur la finalité du mandat prophétique. En allant au fond des choses, nous serons en mesure de relever une distinction fondamentale concernant le Livre sacré des musulmans et celui des chrétiens. Ce dernier n'est pas synchrone, et de plus, il ne provient pas directement de sa source révélatrice. Les Evangiles actuellement à notre disposition dont le contenu doctrinal et même narratif a été dénaturé et parfois falsifié, sont sujets aux critiques sévères des chercheurs et des savants. D'autant plus qu'il existe des raisons suffisamment fondées pour mettre en cause leur authenticité, et pour en conclure ainsi qu'ils ont été formulés, en fonction de l'orientation et de l'inclination personnelle de leurs auteurs. Nous citons ici un passage de "l'Histoire de religions" écrite par John Nasse : "L'Histoire du Christianisme est * * * * * *
Malgré tout, la Bible contient les témoignages désignant le prophète de l'Islam au titre d’envoyer divin. Prenons en considération les passages suivants tirés de l'Evangile de Jean où Jésus annonce à ses disciples : "Je ne parle plus guêtre avec vous, car le "prince du monde" vient ll n'a rien en moi."(14.30). "Quand sera venu le "Consolateur" que je vous enverrai de la part du père, il rendra témoignage de moi"(14.26). "Cependant, je voue dis la vérité: il vous est avantageux que je m'en aille, car si je ne m'en vais pas; le "paraclet" ne viendra pas vers vous, mais si je m'en vais, je vous l'enverrai.
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