Notre relation avec l'Imam Al-Mahdi« Il m’est pénible de voir les créatures et ne pas te voir ni entendre de toi un murmure ou une confidence. Il m’est pénible que tu sois dans l’épreuve, alors que je ne le suis pas et que tu n’entendes de moi ni vacarme ni plainte. (…) Jusqu’à quand serai-je dans le désarroi à ton propos, ô mon maître ? Jusqu’à quand ? Et avec quels mots te décrire et t’adresser mes confidences ? Il m’est pénible qu’on me réponde et qu’on me chuchote des paroles plaisantes sans toi. Il m’est pénible de te pleurer alors que tout le monde t’abandonne. Il m’est pénible qu’arrive à toi plutôt qu’à eux ce qui t’arrive. Y a-t-il une aide pour prolonger, en sa compagnie, les lamentations et les pleurs ?
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