La Démonstration scientifique de l'existence de Dieu



On a remarqué que le taux de l'oxygène libre correspond parfaitement au besoin de l'homme et de sa vie pratique. L'air se compose, en effet, de 21% d'oxygène. Si ce pourcentage était plus élevé, l'environnement aurait été exposé à des incendies permanents. Et s'il était moins élevé, la vie aurait été impossible ou difficile, et il n'y aurait pas eu assez d'oxygène pour subvenir aux besoins de la vie.

Nous observons également un phénomène naturel qui se répète continuellement des millions de fois à travers les temps, et permet le maintien d'un taux déterminé d'oxygène en constance: lorsque l'Homme, et d'une manière générale l'Animal respire et inspire l'oxygène, le sang reçoit celui-ci et le distribue aux différentes parties du corps. Cet oxygène consume alors l'alimentation; ce qui produit le gaz carbonique, lequel remonte aux poumons pour être rejeté dans l'air. Ainsi, l'Homme et d'autres espèces animales produisent continuellement ce gaz qui constitue une condition nécessaire à la vie de tout végétal; celui-ci à son tour, en recevant le gaz carbonique, en sépare l'oxygène qu'il rejette sous sa forme pure dans l'air, pour être apte à la respiration de nouveau.

Par ce processus d'échange entre l'animal et le végétal, l'oxygène a pu maintenir son taux; et sans lui l'oxygène se serait fait rare et la vie de l'Homme aurait été quasiment impossible.

Et ce sont des milliers de phénomènes naturels qui ont concouru à la réalisation de ce processus d'échange parfaitement adapté aux exigences de la vie.

Nous remarquons que le nitrogène, en tant que gaz lourd, tendant plutôt au gel, allège pertinemment l'oxygène de façon à le rendre utile, en s'y joignant dans l'air. De même, on constate que les quantités respectives de l'oxygène et du nitrogène restées libres dans l'air concordent parfaitement. En d'autres termes, la quantité de l'oxygène de l'air est justement ce que la quantité du nitrogène de l'air peut alléger. Si l'oxygène venait à augmenter ou que le nitrogène venait à diminuer, l'opération d'allégement nécessaire n'aurait pas lieu.

Nous remarquons aussi que la quantité d'air existant sur la Terre est limitée: elle ne dépasserait pas un millionième de la masse du globe terrestre. C'est très justement cette quantité qu'il faut pour rendre possible la vie de l'Homme sur Terre. Si elle venait à augmenter ou à diminuer, la vie deviendrait du moins difficile, sinon impossible. Car son augmentation signifie l'augmentation de la pression de l'air sur l'Homme, augmentation qui pourrait atteindre un degré insupportable; et sa diminution signifie qu'on laisse aux météores, qui se répandent chaque jour la possibilité de pénétrer la Terre facilement et d'anéantir tout ce qui y vit.

Nous remarquons que l'écorce terrestre qui absorba l'oxyde de carbone et l'oxygène fut d'une épaisseur limitée de façon à ne pas absorber toute la quantité de ces gaz. Si elle était plus épaisse, elle les aurait entièrement absorbés, ce qui aurait entraîné l'anéantissement du Végétal, de l'Animal et de l'Homme.

Nous remarquons que la Lune est située à une distance précise de la Terre, distance qui correspond très exactement à ce qu'il faut pour que la vie pratique de l'Homme sur la Terre puisse se dérouler normalement. Si cette distance était relativement plus courte, la marée que la Lune aurait provoquée eût été capable de déplacer les montagnes.

Nous remarquons beaucoup d'instincts chez les différents êtres vivants. Si l'instinct est une notion métaphysique et ne peut être soumis à l'observation, le comportement qu'il exprime ne l'est pas, il peut être parfaitement soumis à l'observation scientifique. Ce comportement instinctif exprimé par des milliers d'instincts que l'Homme a pu remarquer à travers sa vie quotidienne ou ses recherches scientifiques concorde parfaitement avec le déroulement de la vie et sa protection. Il atteint parfois un haut degré de complexité et de précision. Lorsque nous le divisons en unités, nous remarquons que chaque unité est placée dans la position exacte qui lui permet de mener à bien sa mission, de faire se dérouler la vie et de la protéger.

La structure physiologique de l'Homme représente des millions de phénomènes naturels et physiologiques. Chacun de ses phénomènes correspond constamment par sa conception, son rôle physiologique et ses corrélations avec tous les autres phénomènes - à la tâche de l'acheminement de la vie et de la protection de la vie. Prenons par exemple un groupe de phénomènes qui se sont liés entre eux de façon à s'adapter parfaitement à la fonction de la vue et à l'action de faciliter la perception des choses de façon utile.



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