La Kaaba Dans Les Manuscrits Récemment DécouvertsLe verbe «indiquer» (bawwa’a) est utilisé dans la sourate et selon Ibn Katir dans le sens de montrer, marquer (c’est à dire Allah a montré au prophète Ibrahim le lieu de construire la maison et lui a permis de l ‘établir) . La plupart des interpréteurs du sacré Coran ont suivi cette explication comme par exemple le savon Ibn Manzour dans son livre intitulé: ‘la langue des arabes ‘ « on disait qu’une personne s’est indiquée sur un lieu s’elle vient de le voir facilement (par la simple vision) et à constater qu ‘il est convenable pour s’en dormir» Nous avons une autre référence plus fondée sur ce sujet, celle insérée dans dont le livre de Jubilées, l’un des livres appelé Pseudepigrapha, au sein duquel, le prophète Ibrahim disait dans ce sens : « j‘ai construit cette maison pour moi même afin de mettre mon nom sur terre ainsi je lui donne le nom de « maison d’Abraham» 24: 22 ( ce verset contient seulement le sens du verset 24:22 et non le contenu tel qu ‘ il est dans le livre ) La dernière évidence que nous avons trouvée à propos de ce sujet, est une conversation du prophète Ibrahim avec Nimroud au cours de laquelle le prophète Ibrahim s’est présenté en tant que l‘ambiant (serviteur) de la maison de Dieu . Et Sans chercher dans ces anciens livres, il nous suffit seulement de lire la Torah pour trouver que le nom de la Mecque est citée par le même terme utilisé dans le sacré Coran qui est: Baca Le sacré Coran a utilisé le même terme de l ‘ancien testament afin de Le faire rappeler aux gens du livre , puisqu ‘on trouve dans les versets 5-6-7: 84 du livre des Psaumes : 84 :5) Heureux ceux qui habitent ta maison ! Ils peuvent te célébrer encore. Pause. 84 :6) Heureux ceux qui placent en toi leur appui ! Ils trouvent dans leur cœur des chemins tout tracés. 84 :7) Lorsqu'ils traversent la vallée de Baca, Ils la transforment en un lieu plein de sources, Et la pluie la couvre aussi de bénédictions Nous constatons ici que le lieu plein de sources d’eau nous rappelle la puit de zam zam. La vallée de Baca est un nom et les noms ne se traduisent pas. Ainsi si on dit Einstein on ne va pas traduirepar «un seul rocher» qui est la signification de ce nom, mais nous le laissons tel qui ‘il est. Ainsi toutes les traductions anglaises suivant l‘esprit de la fidélité scientifique ont laissées le nom Baca pour lire: the valley of Baca, mais dans les traductions arabes des évangiles, il y avait une peur de confondre ce nom Baca avec la ville sainte de l ‘Islam. Ainsi nous trouvons que cette Baca est mentionnée comme un lieu à côté de Jérusalem qui est la ville sainte où les gens du livres exécutent leurs pèlerinage alors qu ‘il n’y a aucun lieu à côté de Jérusalem qui s’appelle Baca ou vallée de pleure ce qui est prouvé même par le professeur Youngdans sa « Concordance Analytique des Ecritures » P 67 :
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