I. A la MecqueLa propagation de la foi pure fut d'abord enveloppée du secret, et les premiers à l'avoir adoptée étaient Khadîdja parmi les femmes et 'Ali AS, cousin adopté du Prophètes, parmi les hommes. Le début de la répression.
Trois années passèrent, l'Islam se propagea lentement mais sûrement parmi les déshérités de la Mecque. Après quoi, l'ordre de Dieu, Le Tout Haut, parvint à Son Messager de déclarer le contenu de Son Message. Dans un environnement totalement hostile et complètement dévoué à l'idolâtrie, le messager de Dieu Mohammad SAW déclara que "Je témoigne que point de dieu sauf Dieu et que c'est moi le messager de Dieu" Après cette déclaration, les païens idolâtres de Qouraych attisèrent le feu de la haine et commencèrent à battre le tambour de la guerre contre la foi de l'Islam dans laquelle ils voyaient un danger mortel pour leurs intérêts et privilèges injustes. Au début, ils essayèrent de corrompre le Messager de Dieu SAW et d'acheter son silence en lui proposant des fortunes immenses et un pouvoir absolu sous condition d'abandonner la foi de l'Islam; mais tous efforts étaient vains. Quand les idolâtres de Qouraych virent la détermination du Messager de Dieu SAW, ils optèrent pour la manière forte et entamèrent une oppression générale contre tous les adeptes de la nouvelle religion qui ne jouissaient d'aucune position sociale pouvant les protéger : Ainsi, les plus déshérités furent torturés à mort. Certains autres purent supporter la torture et survécurent, alors que d'autres musulmans jouissant d'une protection familiale ou tribale se virent ridiculisés et insultés là où ils allèrent. De surcroît, leurs biens furent saisis; et chaque fois que le rapport des forces tribales ou familiales le permettait, même leurs maisons furent pillées... La guerre économique contre l'Islam.
Toute cette campagne d'oppression n'avait pu empêcher la foi de Dieu de se propager; tout au contraire, chaque fois que l'oppression prenait un aspect plus spectaculaires, le Message divin parvenait à encore à plus d'oreilles et de cœurs assoiffés de justice...
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