L’annonce de la venue du Prophète Mohammad (s) par Jésus (as)4- Boutros al-Bostani, écrivain arabe libanais de confession maronite. Au contact des américains, il se convertit au protestantisme. Influencé par l'exemple occidental, il prône une société arabe non fondée sur l'appartenance religieuse, mais sur l'humanité et le patriotisme. On peut le considérer comme un des précurseurs du baathisme. 5- La première encyclopédie de l’Islam dans la forme moderne est celle qu’a produite le libanais Bostani à la fin du XIXe siècle. Cette encyclopédie est restée inachevée jusqu'à l’avènement de la dynastie ottomane. Après, d’autres personnes ont poursuivi le travail de Bostani à partir de la période post-ottomane. Par la suite, au XXe siècle, l’orientalisme a produit deux éditions de l’Encyclopédie de l’Islam qui ne se fondent pas sur la succession historique mais uniquement sur l’ordre alphabétique. 6- Nûr al-Dîn al-Halabî (1567 / 1635) 7-Grande personnalité spirituelle et héros de l’islam, cousin, gendre et héritier spirituel du Prophète Mohammad (s), 'Alî fils de abû Tâlib (as), premier Imâm du chiisme et quatrième calife du sunnisme, fut le premier arabe à se convertir à la nouvelle religion. Sa personnalité éminente a fait l’objet de divergences parmi les premiers musulmans, certains ne lui ayant pas obéi comme l’avait recommandé le Prophète (s). 8- 'Abd Allâh ibn 'Abbâs (en arabe : عبد الله ابن عباس) Son père, 'Abbâs fils de ‘Abd al-Muttalib, est demi-frère avec le père du Prophète (s). Sa mère Lubâba est la deuxième femme à s’être convertie à l'islam, juste après son amie intime Khadija, la femme du Prophète (s). Ibn 'Abbâs, né en 618, trois ans avant l’Hégire, grandit aux côtés de son cousin paternel, l’Envoyé de Dieu (s). Ibn 'Abbâs fut aussi un partisan loyal du premier Imâm 'Alî ibn Abi Tâlib. Il est considéré par les chiites comme l'un des meilleurs compagnons. Grand expert dans le commentaire (tafsîr) du Coran ainsi que dans la tradition prophétique (sunna), il ne s’est pas seulement contenté d’accumuler le savoir. Il considérait comme son devoir d’éduquer les croyants dans la recherche du savoir. Soucieux de vérité, il soumettait tous les hadîths qu’on lui rapportait à un examen minutieux en consultant une trentaine de compagnons afin d’en vérifier l'authenticité. Il est mort en 687, trois ou quatre ans après l'épisode de Karbalâ où mourut l'Imâm Hossein (as). 9- (en persan : Emâm Rezâ امام رضا), né à Médine en 766 / mort en 818 à Tûs en Iran, a été le huitième Imâm chiite duodécimain et alaouite. Son sanctuaire, l’un des hauts lieux de pèlerinage du monde, se trouve à Mashhad, dans le Khorâssân iranien. 10- Il s’agit du ‘Uyûn Akhbâr al-Ridhâ, les sources au sujet de l’Imâm Rezâ (as). 11- C’est le titre que l’on donnait au grand rabbin chargé de la direction religieuse de la diaspora. On peut le traduire par Exilarque. 12- Ce terme peut se comprendre si nous lisons « gathliq », les arabes transcrivant le son « g » guttural par la lettre « jîm ». D’ailleurs certains arabes continuent de prononcer tous les « jîm » comme des « guim ». Ghathliq suggère donc qu’il pourrait s’agir d’un prêtre catholique.
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