LA VOIE DU PARADISun parent qui accepte d’avoir un "disco party" pour plaire à ses enfants aiment plus ses enfants qu’allà h (swt). un parent qui emmène ses enfants manger des beef-burger non halà l aime ses enfants plus qu’allà h (swt). un parent qui ne peut pas dire "non" aux aspirations non islamiques de ses enfants, les préfère plus qu’allà h (swt). a cause des actions anti islamiques de ses enfants, le parent aura un voyage difficile vers le paradis. tous les parents aiment leurs enfants. les enfants doivent apprendre à accepter "non" de leurs parents. les parents doivent penser à leur voyage après la mort et dire "non" aux demandes anti-islamiques de leurs enfants. un homme qui ne donne pas de zakà te, khoums et charité aime son argent plus qu’allà h (swt). les gens qui retardent leurs prières à cause d’affaires et commerce aiment plus l’argent qu’allà h (swt). une personne qui fait négoce avec des objets et marchandises harà mes aiment plus l’argent qu’allà h (swt). similairement, nous ne devons pas perdre notre valeureux temps dans ce monde juste pour gagner et épargner l’argent. nous ne pourrons pas emmener notre argent avec nous. payez plutôt le khoums et investissez pour l’avenir (après la mort) en faisant la charité, donation pour les mosquées, madressàs et autres travaux de tabligh. shaità ne, notre ennemi, va faire de son mieux pour nous dévier et détruire notre foi en allà h (swt) à l'instant de notre mort. nous croyons en allà h (swt) et l’adorons toute notre vie. pourquoi ne nous aide-t-il pas quand nous avons le plus besoin de lui à l’instant de notre mort ? il le fait ! il envoie les anges du paradis pour nous conforter et nous aider. parfois nos parents et amis les plus proches éloignent les anges. une histoire d’un écrivain digne de foi - seyed mourtaza-é-najafi- nous raconte comment nous éloignons les anges qui viennent nous aider. il y a 200 ans, à cause d’une épidémie dans la ville de najaf, un grand nombre de gens mourrait chaque jour. une fois que le ghoussal-é-mayit était donné aux corps, un seul namà z-é-mayit était accompli pour tous les morts. ceci étant permis par la shariat. un voyageur d’iran en visite pour najaf n’a pas aimé cet arrangement. il vint voir un moudjtahid de la ville et lui demanda que s’il (le voyageur) mourrait à najaf, il aimerait que son namà z-é-mayit soit accompli seul et non en groupe avec les autres morts. comme il était un hôte dans la ville, le moudjtahid accepta et promit de respecter son souhait. après trois jours, le voyageur d’iran tomba très malade. il demanda à son fils d’aller chercher le moudjtahid. le garçon vint chez le moudjtahid et lui demanda de venir voir son père malade. immédiatement, le moudjtahid et ses compagnons se sont dirigés vers la maison du voyageur. en chemin, ils rencontrèrent un jeune garçon qui leur demanda où ils allaient. on lui raconta concernant la maladie du voyageur. comme il est hautement recommandé en islam de visiter les malades, il décida de se joindre à eux. ils arrivèrent à la maison du voyageur et y entrèrent un par un. celui-ci leur donna la main et remercia individuellement chacun d’eux pour être venu le visiter. finalement le jeune homme entra. dès que le voyageur malade l’a vu, il devint très furieux et ordonna au jeune homme de quitter immédiatement sa maison. le jeune homme fut très embarrassé et sortit sur le champ. une demi-heure plus tard, le jeune homme retourna chez le voyageur malade. cette fois celui-ci fut très heureux de le voir, il lui donna la main et le remercia de sa visite. après un moment, le moudjtahid, ses compagnons et le jeune homme ont quitté la maison. une fois dehors, le moudjtahid demanda au jeune homme s’il savait pourquoi le voyageur malade a réagi aussi rudement à sa première visite et si gentiment à sa deuxième visite. le jeune homme dit qu’il n’avait jamais rencontré le voyageur auparavant et qu’il n’y avait rien eu entre eux . puis il précisa qu’à sa première visite il était najis et que le ghoussal était devenu wajib sur lui. avant sa deuxième visite, il était allé prendre une douche et accomplir son wajib ghoussal. ainsi il était pà k quand il est retourné chez le voyageur. le moudjtahid réalisa ce qui s’était produit et les rappela un hadiss de notre 5ème imà m.
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