La dignité et l’honneur selon le Prophète de la ClémenceDans ses relations sociales il était si modeste et si inaffecté que chacun pensait qu’il était un homme comme les autres, sans aucune différence. Son attitude était basée sur l'honneur des gens, de même que son amour et estime pour eux étaient inimaginables. [vii][8] L’Imam Hossein (as), cite son noble père (Qlpssl) en disant : «يعطي كلّ جلسائه نصيبه، Ùˆ لا ÙŠØسب Ø£Øد من جلسائه أنّ Ø£Øداً أكرم عليه منه... مجلسه مجلس Øلم Ùˆ Øياء Ùˆ صدق Ùˆ أمانة، لا ترÙع Ùيه الأصوات،... متواضعين يوقرون الكبير، Ùˆ يرØمون الصغير، Ùˆ يؤثرون ذا الØاجة، Ùˆ ÙŠØاÙظون الغريب» « Il donnait sa portion à chacun de ses compagnons, et jamais aucun de ses compagnons ne pensait qu'un autre était plus noble que lui … Son assemblée était de patience, modestie, véracité et confiance. Les voix ne s’élevaient jamais … Ses compagnons étaient modestes, vénéraient la vieillesse et montraient de l’indulgence envers la jeunesse; ils auraient préféré l’indigence (pour eux) et l’honneur aux étrangers. » L'imam Ali (Qlpssl)) alors ajoute: J'ai demandé à mon père une fois, "Comment était les relations entre le Prophète et ses compagnons"? A laquelle il a répondu, «كان دائم البشر، سهل الخلق، لين الجانب، ليس بÙظّ، Ùˆ لا غليظ، Ùˆ لا صخّاب، Ùˆ لا ÙØّاش ... Ùˆ لا عيّاب، Ùˆ لا مدّاØØŒ يتغاÙÙ„ عمّا لا يشتهي، Ùلا يؤيس منه، Ùˆ لا يخيب مؤمّله... Ùˆ يصبر علي الغريب علي الجÙوة ÙÙŠ مسألته Ùˆ منطقه Øتّي أنّ أصØابه ليستجلبونهم، Ùˆ يقول: إذا رأيتهم طالب الØاجة يطلبها ÙأرÙدوه. Ùˆ لا يقبل الثناء إلّا من مكاÙÙŠØŒ Ùˆ لا يقطع علي Ø£Øد كلامه Øتّي يجوز، Ùيقطعه بنهي أو قيام»[viii][9] « Il était toujours gai avec une délicate tempérance et clémence. Il n'était ni dur, ni sévère, ni bruyant, ni grossier dans son langage… Il n'était ni calomniateur, ni flatteur. Il ignorait ce qu'il n'aimait pas entendre, ainsi il ne décevait pas les autres ni ne laissait ps tomber ceux qui ont attendus son aide… Il était patient avec l'étran-ger; ce dernier pouvait le questionner et parler si offensivement que ses compagn-ons, quelquefois, eurent la ferme intention de le mettre à sa place, mais il les empê-chait en disant : ‘Toutes les fois que vous rencontrez un nécessiteux, aidez-le.’ Il n’acceptait aucune éloge mais que de la gratitude, et il n'a jamais interrompu personne à moins qu'il ait transgressé, dans ce cas il l'interrompait en l'arrêtant ou en se levant. »
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