Questions Diverses



*II n'est pas licite de mettre ces papiers dans les sacs d'ordure car cet acte comprend l'offense et le déshonneur, mais rien n'empêche d'en   effacer   l'écriture   même    en    utilisant
certains   produits  chimiques,   de  les   enterrer dans un lieu pur ou de les couper finement en tous petits morceaux comme de la terre.

Question 598: Est-ce que faire la divination au moyen du Coran (al- 'istihāra) selon la méthode suivie chez nous est encouragée légalement et est-ce qu'elle existe dans des textes? Y a-t-il un mal à la répéter en faisant l'aumône pour qu'elle s'accorde à l'envie de celui qui le fait?

*La divination au moyen du Coran se fait en ayant l'espoir de s'approcher de Dieu. Elle se fait    lorsqu'il    faut    choisir    entre    plusieurs possibilités et que rien, ni la réflexion,  ni les
conseils   d'autres   personnes,   ne   peut   rendre l'une   de   ces   possibilités   meilleure   que   les autres. Le fait de la répéter n'est pas bon sauf si son sujet  est  différent  et  le  fait  de faire
l'aumône en payant un peu d'argent rend ce sujet différent.

Question 599: Quelles sont les limites que vous déterminez pour vos représentants lorsqu'ils veulent utiliser les droits légaux qu'ils reçoivent pour leurs dépenses personnelles?

*Ce qui est cité dans l'autorisation que nous    donnons    au    représentant    consiste    à dépenser le tiers ou la moitié (par exemple) des droits financiers légaux qu'il reçoit dans leurs
lieux   déterminés   légalement.   Ceci  veut   dire qu'il n'y a pas de pourcentage précis destiné aux dépenses de celui qui a cette autorisation, il se
peut même que cette personne n'ait pas du tout le droit d'en utiliser pour lui comme, par exemple, s'il était de la lignée du Prophète et que le droit perçu fait partie de la zakat qui est destinée à ceux qui ne sont pas de la lignée du Prophète et à ceux qui ont leurs jugements.

A la lumière de cela, le représentant a le droit de prendre ce juste dont il a besoin pour les dépenses qui conviennent à son état et s'il estime, et Dieu est témoin sur ses actes, qu'il mérite d'utiliser les droits légaux pour ses propres dépenses, parce qu'il réunit les conditions citées dans l'épître pratique comme, par exemple, s'il est pauvre au sens légal du terme, s'il fait partie de ceux qui ont droit à la zakat ou à des parts qui sont spécifiques aux gens de la lignée du Prophète ou s'il veut utiliser cet argent pour combattre des injustices etc...

Ainsi, si cette personne rend un service légal public et travaille pour répandre la religion alors il mérite, pour cela, de prendre une partie de la part de  l’Imam(que la paix soit sur lui) en fonction de ce qui convient avec ce travail et ce service qu'il a fait pour la religion.

Par contre, si cette personne ne méritait pas de prendre les droits qu'il a reçus, il doit dépenser la somme déterminée de cet argent là où il est prévu légalement de le faire.

Si la personne responsable n'avait plus confiance envers le représentant du marga' en raison des erreurs qu'il a commises en ce qui concerne les droits financiers légaux:

Question 600: a - Est-il licite au responsable de parler de cela devant les autres, même s'il n'était pas sûr de ce dont est accusé le représentant? Quelle serait sa position, s'il était sûr de la véracité de cette accusation?



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