Le sacrifice d’Ismâ‛îl (as) dans l’histoire d’Ibrâhîm (as)9- Le sa‛y / سعي / la quête, consiste à parcourir sept fois la distance qui sépare les deux hauteurs de Safa et de Marwa. C’est l’un des rites de base du pèlerinage. 10- Cet argument est néanmoins improbable, les traditions juives étant très antérieures aux traditions musulmanes. 11- Ce mot comporte également la notion de serviteur. 12- Dans le verset, c’est le mot sa‛y / سعي qui est utilisé, la notion concernée est donc celle de quête, d’effort. 13- Point important : dans le calendrier lunaire, le jour – soit la période de vingt-quatre heures à laquelle correspond une date – commence au crépuscule, aussi, lorsque l’on parle de la nuit de tel jour, on parle de la nuit qui précède le « jour » du jour en question. Jamais il n’est question de la nuit qui suit, car elle appartient déjà au jour suivant. Cette manière de délimiter les jours est très commode et évite les confusions que l’on rencontre régulièrement avec le calendrier grégorien moderne, qui fait s’achever et commencer les jours au milieu de la nuit, à une heure qui ne correspond pas non plus au minuit solaire, sauf en quelques lieux, mais là , le calcul est encore perturbé par les changements d’horaires… 14- Contre soi-même. 15- Satan, le diable. 16- Dans sa descendance. 17- Le sanctuaire sacré, où l’on ramasse les vingt et un petits cailloux que l’on jette sur les colonnes symbolisant Shaytân (les jamarat), en référence à cet événement de la vie d’Ibrâhîm (as). 18- La première colonne symbolisant les tentations de Shaytân face au sacrifice d’Ismâ‛îl (as). Les jamarat sont comme des « stations » de Shaytân, toutes proportions gardées bien entendu.
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