Les sources sunnites sur les souffrances de Fatima (p)« J’aurais dû ne pas accomplir trois choses que j’ai faites et accomplir trois choses que je n’ai pas faites et J’aurais voulu poser trois questions au Prophète. Les trois choses que j’ai faites et que je n’aurais pas dû sont les suivants: je n’aurais jamais dû offenser la demeure de Fatima je n’aurais jamais dû entrer ainsi en conflit »[10] . Ces propos prouvent bien que les menaces d’Omar se sont mises à exécution. 8- Ibn Abi Rabah et son ‘al-Iqd al-Farid’ Ibn Abi Rabah (mort en 463 de l’Hégire) rapporte dans son livre « al-Aqd al-Farid » les propos d’Abdel Rahman ben Aouf qui est allé rendre visite à Abou Bakr qui a lui adit : نقل ابن عبد ربه الاندلسی ÙÛŒ العقد الÙرید: " وودت انّی لم أکش٠بیت Ùاطمة عن شیء Ùˆ إن کانوا اغلقوه على الØرب" « J’aurais dû ne pas accomplir trois choses que j’ai faites et accomplir trois choses que je n’ai pas faites et J’aurais voulu poser trois questions au Prophète. Les trois choses que j’ai faites et que je n’aurais pas dû sont les suivants: je n’aurais jamais dû offenser la demeure de Fatima je n’aurais jamais dû entrer ainsi en conflit. [11] Et il y a également, dans cette partie du livre, les noms des personnalités qui ont relaté les propos du Calife. 9- Ibn Nazim et son “ al-Wafi bel-wafi-yat†ذکر ابراهیم بن سیار النظام المعتزلی (160-231) نقل Øادثة الهجوم على بیت Ùاطمة (س) Ùقال: " انّ عمر ضرب بطن Ùاطمة یوم البیعة Øتى ألقت المØسن من بطنها" Ibrahim Ibn Sayyar Nazim Motazeli (160-231 de l’Hégire) connu pour la beauté de sa poésie et de sa prose, relate dans de nombreux livres, les événements après l’agression et la profanation de la demeure de la vénérée Fatima (bénie soit-elle). Il précise : « Le jour où Omar est allé obtenir l’allégeance pour Abou Bakr, il porté un coup au ventre de Fatima à tel point que l’enfant qu’elle portait dans son utérus et que l’on avait prénommé ‘Mohsen’ a été ainsi avorté ! (Veuillez prêtez attention !). [12] 10- Moubrrad (Baghdadi) et son « al-Kamel » Mohammad ibn Yazid ibn Abdul Akbar Baghdadi (210-285 de l’Hégire), grand littérateur et écrivain cite lui aussi Ibn Aouf et rappelle ses paroles : « : je n’aurais jamais dû offenser la demeure de Fatima je n’aurais jamais dû entrer ainsi en conflit ».[13]
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