Les Droits de l’Homme selon l'Imam Ali (as)Notons que le terme de «droit de vivre» ne se trouve pas dans la littérature Islamique et dans la troisième partie de la déclaration des Droits de l’Homme, il est considéré pour avoir la première place et à affirmer sérieusement le sujet. Ce qui est clairement mentionné dans la déclaration est que « tout le monde a le droit de vivre, d’être libre, d’avoir la sécurité personnelle. » Même si le droit de vivre n'a pas été mentionné dans la littérature Islamique, il peut se trouver dans les écrits de l’Imam Ali (as) qui font références à la prohibition et l’interdiction d'effusion de sang. Ce n’est pas seulement une obligation religieuse ; en d’autres termes, tuer les gens est interdit et prohibé tant que l’homme a le droit de vivre et tuer est une grave violation de ce droit. Ceci est une évidence selon le Noble Coran verset 5: 32 : «من قتل Ù†Ùساً بغير Ù†Ùس٠أو Ùساد٠Ùâ€Ù‰ الأرض Ùكأنّما قتل النّاس جميعاً» «Quiconque tuerait une personne non coupable d’un meurtre ou d’une corruption sur la terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes. » D'après ce verset coranique, tuer une personne est un crime contre l’humanité. C’est un crime public. Tuer une personne est égale au meurtre de tous les hommes, ce qui veut dire que tous les hommes ont le droit de porter plainte et de poursuivre en justice, dès qu’une personne a été tuée. Il faut dire que, chaque fois qu’une personne est assassinée sans raisons légales, toute personne à le droit de le réprimer, d’intenter un procès et de demander que justice soit rendue. Selon le verset 5:32 du Noble Coran, deux exceptions sur le fait de tuer sont légitimes : Dans le cas où un tueur a pris la vie d’une personne (homicide involontaire) par ignorance de la juridiction du droit à la vie, il doit être tué car il a violé ce droit ; ou dans le cas où une personne est coupable de corruption sur la terre, il est un danger pour la sécurité publique et il détruit l’ordre publique. D'après les enseignements Islamiques toute personne commettant l’un de ces actes illégaux mentionné ci-dessus n'a aucun droit de vivre. En Islam, personne ne peut ignorer ou violer le droit de vivre d'autrui et les Musulmans et non Musulmans sont égaux en ce droit. Même les non-Musulmans ne doivent pas être tués juste parce qu'ils ne sont pas Musulmans à moins qu'ils corrompent la terre ou tue comme a été affirmé dans le verset ci-dessus. 2. Le droit à la liberté De nombreuses controverses ont existé au sujet de la définition de la liberté. Selon une explication légale sur la liberté, il peut être brièvement défini comme l'indépendance de l'homme et de sa propre organisation dans les différents aspects de sa vie. Ce genre de liberté est une condition nécessaire pour le développement de la personnalité de l'homme. Il est régularisé et structuré intellectuellement et selon les lois divines. Il n’est pas suffisant d’exprimer la liberté. La liberté devrait être encrée dans les mÅ“urs de la culture sociale. Ceci a été démontré dans la vie et les pratiques de l’Imam Ali (as). L’Imam Ali (as) n'a pas simplement discuté au sujet de la liberté de l'homme. Dans son discours et son comportement, il a essayé de développer la culture de la liberté dans la société. Il a organisé des infrastructures sociales pour rendre possible l'usage de la liberté de l'homme. Il a encouragé les gens à avoir du courage et a demandé aux dirigeants d’être ouverts d’esprit et tolérant.
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