CONNAÃŽTRE DIEU PAR LA RAISON



Les chercheurs évolutionnistes construisent des créatures illusoires semblables à l’homme, alors qu’ils ne sont en possession que d’une seule dent, d’un fragment de mandibule ou d’un humérus. Ils les présentent ensuite au public d'une façon sensationnelle comme s’il s’agissait de formes transitoires évolutives. Ces schémas ont joué un grand rôle dans la fixation d’une image de "l’homme primitif" dans l’esprit de certaines personnes.

Ces études basées sur des restes d'os ne peuvent qu'indiquer certaines caractéristiques très générales de la créature concernée. Ses détails particuliers sont en réalité contenus dans les tissus mous qui disparaissent rapidement avec le temps. Il est possible, en spéculant sur la nature des tissus mous, d’interpréter l’information comme on le souhaite. Earnst A. Hooten de l'Université de Harvard explique la situation comme ceci: 

"Tenter de restaurer les parties molles est une entreprise bien plus dangereuse. Les lèvres, les yeux, les oreilles et l’extrémité nasale ne laissent aucuns indices sur les parties osseuses sous-jacentes. Il est aussi facile de modeler, sur un crâne de Néandertalien, les caractéristiques d'un chimpanzé que celles des linéaments d'un philosophe. Ces reconstructions alléguées d’anciens types d'homme ont très peu de valeur scientifique et sont seulement capables de tromper le public... Ne vous fiez donc pas aux reconstructions." 6

 

La fabrication de faux fossiles

Incapables de trouver, dans les fossiles répertoriés, des preuves valides soutenant la théorie de l’évolution, certains évolutionnistes ont essayé de fabriquer leurs propres preuves. Ces efforts ont été inclus dans les encyclopédies sous le titre de "fraudes de l'évolution". Ceci prouve que la théorie de l'évolution est une idéologie et une philosophie que les évolutionnistes sont déterminés à défendre. Deux des plus célèbres de ces tromperies sont décrites ci-dessous.

 

L'homme de Piltdown

Charles Dawson, médecin bien connu et paléoanthropologue amateur, a prétendu avoir trouvé en 1912 une mâchoire et un fragment crânien dans un puits dans la zone de Piltdown en Angleterre. Bien que le crâne ait été humain, la mâchoire était distinctement simienne. Ces spécimens ont été appelés "homme de Piltdown". Supposés avoir 500.000 ans, ils ont été présentés en tant que preuves absolues de l'évolution humaine. Pendant plus de 40 ans, beaucoup d'articles scientifiques ont été écrits au sujet de "l’homme de Piltdown". Plusieurs interprétations et schémas ont été produits pour présenter le fossile en tant que preuve déterminante de l'évolution humaine.

En 1949, les scientifiques ont examiné le fossile une fois de plus et ils en ont conclu que le "fossile" était une fraude délibérée, composé d'un crâne humain et d’une mâchoire d'orang-outan.

En utilisant la méthode de datation au fluor, les chercheurs ont découvert que le crâne ne datait que de quelques milliers d’années. Les dents de la mâchoire qui appartenait à un orang-outan, avaient été artificiellement usées et des outils "primitifs" accompagnaient commodément les fossiles. Ces outils n’étaient que des contrefaçons vulgaires, taillées avec des instruments en acier. En 1953, Oakley, Weiner et Clark ont révélé cette fraude au public. Le crâne appartenait à un homme  vieux de 500 ans et l'os mandibulaire appartenait à un singe récemment décédé! Des dents avaient spécialement été alignées et ajoutées à la mâchoire. Les joints avaient été limés pour les faire ressembler à ceux d'un homme. Ensuite, tous ces morceaux avaient été souillés avec du dichromate de potassium pour leur donner un aspect suranné (ces taches disparurent une fois trempées dans de l’acide.) Le Gros Clark, membre de l'équipe qui a révélé la fraude, ne pouvait pas cacher son étonnement: 

"Les preuves de l'abrasion artificielle sautaient immédiatement aux yeux. En effet, elles semblent si évidentes que l’on peut se demander: comment se fait-il qu’elles n’aient pas été remarquées plus tôt?" 7

 

L’homme du Nebraska

En 1922, Henry Fairfield Osborn, directeur du Musée américain d'Histoire Naturelle, déclara qu'il avait trouvé le fossile d’une molaire de la période pliocène au nord du Nebraska près du Snake Brook. Il a prétendu que cette dent portait des caractéristiques communes à l'homme et au singe. Cette découverte a fait naître d’importants débats scientifiques. Certains ont avancé que cette dent appartenait au Pithécanthrope erectus tandis que d'autres ont prétendu qu’elle était plus proche de celle des hommes modernes. Ce fossile a été populairement nommé "homme de Nebraska". On lui a donné immédiatement "le nom scientifique" de "Hesperopithecus Haroldcooki".

Beaucoup de personnes faisant autorité ont donné leur soutien à Osborn. Des reconstructions de la tête et du corps de l'homme de Nebraska ont été dessinées sur la seule base de cette dent. Les chercheurs sont allés jusqu’à décrire la famille entière de l'homme de Nebraska.



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