CONNAÃŽTRE DIEU PAR LA RAISON



Cependant, les évolutionnistes eux-mêmes ont été les premiers à réfuter que les australopithèques étaient bipèdes. Des études détaillées de fossiles d'australopithèques ont forcé les évolutionnistes à admettre que ceux-ci ressemblaient "trop" aux singes. Charles E. Oxnard qui a fait des recherches anatomiques détaillées sur des fossiles d'australopithèques au milieu des années 70, a comparé la structure squelettique des australopithèques et celle des orangs-outans modernes: 

"Une grande partie du savoir conventionnel d'aujourd'hui au sujet de l'évolution humaine est basée sur des études de dents, de mâchoires et de fragments de crâne de fossiles d'australopithèques. Tous indiquent que la relation étroite entre l'australopithèque et la lignée humaine ne peut être vraie. Tous ces fossiles sont différents des gorilles, des chimpanzés et des hommes. Étudiés en tant que groupe, les australopithèques ressemblent plus aux orangs-outans." 8

Pourtant, découvrir que les australopithèques ne pouvaient pas marcher sur deux pieds à cause de leur posture courbée, a vraiment mis les évolutionnistes dans l’embarras. Il n’aurait pas été physiquement rentable pour les australopithèques de se déplacer de cette façon en raison des énormes exigences énergétiques que cela aurait nécessitées. Au moyen de simulations réalisées par ordinateur en 1996, le paléoanthropologue anglais Robin Crompton a également démontré qu'une foulée si "complexe" était impossible. Crompton en a tiré la conclusion suivante: un être vivant peut ou marcher tout droit ou sur quatre pattes. Un type de pas intermédiaire ne peut pas être soutenu pendant de longues périodes en raison de la consommation d'énergie extrême qu’il nécessite. Ceci signifie que les australopithèques ne pouvaient être bipèdes et avoir une posture courbée en même temps.

L'étude la plus importante démontrant que les australopithèques ne pouvaient être bipèdes a été effectuée en 1994 par l‘anatomiste Fred Spoor et son équipe dans le Département d’Anatomie Humaine et de Biologie Cellulaire à l'Université de Liverpool en Angleterre. Ce groupe a entrepris des études sur la bipédie des êtres vivants fossilisés en examinant le mécanisme d'équilibre involontaire qui se trouve dans le limaçon de l'oreille. Les résultats ont prouvé de manière concluante que les australopithèques ne pouvaient pas être bipèdes. Les australopithèques ne peuvent donc être semblables aux hommes.

 

La série Homo: des êtres humains réels

L’étape suivante du point de vue de l’évolution imaginaire de l’homme est celle des êtres "Homo", c'est-à-dire de la série humaine. Ces êtres sont des humains. Ils ne sont en aucun cas différents des hommes modernes mais ils portent néanmoins certaines différences raciales. Cherchant à exagérer ces différences, les évolutionnistes représentent ces individus comme faisant partie d’une "espèce" différente. Ils ne veulent pas reconnaître qu’ils sont en réalité "une race" d'hommes modernes. Cependant, comme nous le verrons bientôt, les membres de la série  "Homo" ne sont rien d’autre que le produit d’une variation raciale d’hommes ordinaires. 

Selon le schéma illusoire des évolutionnistes, l'évolution interne de l'espèce "Homo" se serait déroulée comme suit: l’Homo erectus serait apparu en premier, suivi de l’Homo sapiens archaïque, de l’homme de Neandertal, de l’homme de Cro-Magnon, puis ensuite serait apparu  l'homme moderne. 

Malgré ce que prétendent les évolutionnistes, toutes les "espèces" énumérées ci-dessus sont de véritables êtres humains. Examinons d'abord l’Homo erectus qui est supposé être l’espèce humaine la plus primitive. 

La preuve la plus percutante démontrant que l’Homo erectus n'était pas une espèce "primitive" est le fossile du "garçon de Turkana", l’un des plus anciens restes d’Homo erectus. On estime que le "garçon de Turkana" était un garçon de 12 ans, qui aurait atteint une taille de 1,83 mètres lors de son adolescence. La structure squelettique droite du fossile n'est pas différente de celle de l'homme moderne, elle est grande et mince et ressemble à celle des gens vivants aujourd’hui dans des régions tropicales. Ce fossile est l’une des preuves les plus importantes que l’Homo erectus est simplement un spécimen parmi d’autres de la race humaine moderne. Le paléontologue évolutionniste Richard Leakey compare l’Homo erectus et l'homme moderne comme suit: 



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