CONNAÃŽTRE DIEU PAR LA RAISON



Ensuite, en 1927, d'autres parties du squelette ont été découvertes. Selon ces nouvelles découvertes, la dent n'appartenait ni à un homme ni à un singe. On a su alors qu'elle appartenait à une espèce éteinte, celle du porc sauvage américain appelé Prosthennops.

 

 

LES HOMMES ET LES SINGES DESCENDENT-ILS

D'UN ANCÊTRE COMMUN? 

 

Selon les affirmations de la théorie de l'évolution, les hommes et les singes modernes ont des ancêtres communs. Ces créatures primitives auraient évolué avec le temps, certaines d'entre elles seraient devenues les singes modernes, alors que d'autres seraient devenues les hommes modernes en suivant une ligne d’évolution différente.

Les évolutionnistes ont appelé les premiers ancêtres communs prétendus hommes et singes des "australopithèques", ce qui signifie "singe sud-africain". Les australopithèques ne sont rien d’autre qu’une ancienne espèce de singe éteinte. Ils se trouvent sous différentes formes, certains sont robustes alors que d'autres sont petits et légers. 

Les évolutionnistes classifient l’étape suivante de l'évolution humaine de période "Homo", ce qui veut dire "homme". Selon leurs dires, les êtres vivants de la série Homo sont plus développés que les australopithèques, et sont assez proches de l'homme moderne. Ils disent que l'homme moderne contemporain, l’Homo sapiens, constitue la dernière étape de l'évolution de cette espèce. 

Les australopithèques, dans ce scénario évolutionniste imaginaire, seraient de vrais singes dont l’espèce s’est éteinte ensuite. De plus, les êtres de la série Homo seraient les membres de diverses races humaines qui ont vécu dans le passé et ont disparu ensuite. Les évolutionnistes ont classé les divers fossiles de singe et d'homme du plus petit au plus grand afin de schématiser l'évolution humaine. Cependant, les recherches ont démontré que ces fossiles n’impliquent nullement un processus évolutif. De plus, il a aussi été prouvé que certains des ancêtres supposés de l'homme étaient en réalité des singes et que certains supposés singes étaient en réalité des ancêtres de l’homme.

Maintenant, jetons un coup d’œil aux australopithèques, qui sont, pour les évolutionnistes, la première étape du schéma de l'évolution humaine.

 

Les australopithèques:

une espèce éteinte

Les évolutionnistes prétendent que les australopithèques sont les ancêtres les plus primitifs de l’homme moderne. Cette espèce éteinte possède une structure de tête et de crâne semblable à celle des singes modernes, mais avec une plus petite capacité crânienne. Selon les évolutionnistes, ces créatures portent une caractéristique déterminante qui permet de les considérer comme des ancêtres de l’homme: il s’agit de la bipédie.

Les mouvements des singes et des hommes sont complètement différents. Les êtres humains sont les seules créatures vivantes qui se déplacent librement sur deux pieds. Certains autres animaux ont une capacité limitée pour se déplacer de cette façon, mais tous ont des squelettes courbés. 

D’après les évolutionnistes, les australopithèques n’étaient capables de marcher que dans une posture courbée plutôt que droite comme celle adoptée par les êtres humains. Même si cette étape bipède était limitée, cela a suffi aux évolutionnistes pour affirmer que les australopithèques étaient les ancêtres de l'homme.



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