MARYAM :UNE FEMME MUSULMANE EXEMPLAIREAllah a donné à chaque homme et à chaque femme un nombre fixé d'années, Il les tient pour responsables de leurs choix, leur donne le sens de ce qui est juste ou mauvais et fait de leurs bas instincts et de satan leurs ennemis. Et quiconque montre une force de caractère et œuvre pour le bien en face de ces réalités ici sur terre recevra les meilleures récompenses d’Allah dans les deux mondes : Leur Seigneur les a alors exaucés (disant) : "En vérité, Je ne laisse pas perdre le bien que quiconque parmi vous a fait, homme ou femme, car vous êtes les uns des autres. Ceux donc qui ont émigré, qui ont été expulsés de leurs demeures, qui ont été persécutés dans Mon chemin, qui ont combattu, qui ont été tués, Je tiendrai certes pour expiées leurs mauvaises actions, et les ferai entrer dans les jardins sous lesquels coulent les ruisseaux, comme récompense de la part d'Allah." Quant à Allah, c'est auprès de Lui qu'est la plus belle récompense. (Sourate al-Imran, 195) Il rappelle aussi aux hommes et aux femmes que personne ne sera traité injustement quant aux récompenses qu'ils vont recevoir sur terre et dans l'au-delà : Quiconque, mâle ou femelle, fait une bonne œuvre tout en étant croyant, Nous lui ferons vivre une bonne vie. Et Nous les récompenserons, certes, en fonction des meilleures de leurs actions. (Sourate an-Nahl, 97) Allah s’adresse dans le Coran aux hommes et aux femmes de la même manière En regardant le Coran de manière générale, on voit qu’Allah s’adresse aux hommes et aux femmes de la même manière. C’est encore une autre indication qu’Allah ne se préoccupe que de la foi véritable et venant du fond du cœur, d’une personne et non pas de son âge ou son sexe. A cet égard, le Coran s’adresse en même temps aux hommes et aux femmes et leur rappelle qu’ils ont les mêmes responsabilités. Il y a beaucoup de versets de ce genre, parmi eux : "Et quiconque, homme ou femme, qui fait de bonnes œuvres, tout en étant croyant... les voilà ceux qui entreront au paradis ; et on ne leur fera aucune injustice, fût-ce d'un creux de noyau de datte." (Sourate an-Nissa, 124)
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