MARYAM :UNE FEMME MUSULMANE EXEMPLAIREAllah, cependant, révèle que toutes ces activités sont des maux spontanés exigés par l'ego ingrat. Quand les gens agissent suivant ces impulsions, les choses ne font qu'empirer. Les gens qui ne peuvent pas contrôler leurs émotions, même quand ils savent que ce qu'ils font est mal, montrent qu'ils sont à la fois faibles et qu'ils ignorent leur conscience. En d'autres mots, ils semblent grandir en mal. Il est avilissant d'être incapable d'agir en adulte ou de répondre rationnellement quand leur ego suggère le contraire. Comme Allah le révèle, la réponse digne et légitime à de telles suggestions du mal est de les ignorer et d'agir en conscience. Ce trait de caractère doit être approfondi, car en fin de compte il gagnera le respect et l'amour des autres gens et augmentera le rang de la personne à Ses yeux, aussi bien qu'aux yeux des autres gens. Les femmes musulmanes ont assez de dignité et un caractère qui permet de rejeter de tels comportements dégradants pour de petits gains. Allah nous informe de la nature conspiratrice des femmes incroyantes : Puis, quand il (le mari) vit la tunique déchirée par derrière, il dit : "C'est bien de votre ruse de femmes ! Vos ruses sont vraiment énormes ! (Sourate Yusuf, 28) Les femmes incroyantes essayent souvent de résoudre les situations en conspirant, en intriguant ou en mentant, au lieu de rechercher des solutions rationnelles. Cédant aux suggestions de satan, elles tombent dans l'hypocrisie, la lâcheté ou des méthodes peu franches. Les femmes croyantes, d'un autre côté, résolvent leurs problèmes par l'honnêteté, la franchise et la sincérité, car leur conscience d’Allah les éloigne totalement de tels comportements inappropriés. Les femmes incroyantes sont aussi caractérisées par l'envie. Allah mentionne les gens envieux et avertit les autres de leur malveillance : Dis : "Je cherche protection auprès du Seigneur de l'aube naissante, contre le mal des êtres qu'Il a créés, contre le mal de l'obscurité quand elle s'approfondit, contre le mal de celles qui soufflent (les sorcières) sur les nœuds, et contre le mal de l'envieux quand il envie." (Sourate al-Falaq, 1-5)
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