La naissance miraculeuse de son Excellence ‘Isâ (as) selon les Evangiles, le Coran et les hadiths



3- Littéralement : « celui qui est oint Â». Ainsi, le mot Messie correspond à l’étymologie du mot christos, qui donne Christ en français, et désigne celui qui a reçu l’initiation. Donc, ‘Isâ al-Masîh (as) correspond précisément à Jésus-Christ (as) et ne diffère pas de la notion de Messie.

4- Nazareth.

5- Jérusalem.

6- Phraatès V ou Phraatacès.

7- Ce terme désigne la dynastie des rois parthes qui ont régné sur l’Iran et fondé l’Empire parthe.

8- Les fils d’Israël, soit les douze tribus composant le peuple juif.

9- Salomon (as).

10- Hérode.

11- Pour le différencier de « Dieu le Père Â». On peut entendre à l’église cette expression extraordinaire (et absolument scandaleuse pour des oreilles musulmanes) : « Vrai Dieu né du vrai Dieu. Â» Il ne faut toutefois pas négliger le fait qu’il y a eu des divergences lors des premiers temps de l’Eglise, certains n’acceptant pas le dogme de la divinité de Jésus. C’est parce que l’Eglise qui a remporté la partie est celle de Paul qu’il en est ainsi aujourd’hui. Si l’on est tenté de penser que l’Eglise de Jacques, le frère du Seigneur, était plus fidèle à l’enseignement du Christ (as), alors le christianisme actuel tient plus d’un « paulinisme Â» ! Il en va ainsi pour toutes les religions, fractionnées en partis, divisées en courants, elles se réduisent en général rapidement au dogme « gagnant Â», celui qui aura su s’allier aux riches et aux puissants. Le triomphe du « paulinisme Â» n’est pas étranger à la récupération politique qu’en fait l’empereur romain Justinien, pour relancer l’Empire romain déjà en déclin. La continuité de l’Empire traverse les âges, puisqu’aujourd’hui Benoît XVI, comme ses prédécesseurs, est le Pontifex Maximus, l’héritier d’une lignée ininterrompue de souverains pontificaux, même si ce titre fut mis de côté durant quelques siècles. On retrouve cela en islam, où ceux qui ont prôné la justice ont généralement perdu face à ceux qui ont fait passer d’abord l’alliance avec les puissants, dans l’intérêt (discutable) des musulmans.

12- Cette notion regroupe les juifs, les chrétiens et les musulmans, auxquels s’ajoutent, selon les savants (encore assez rares il faut le dire), les zoroastriens, les sabéens, et même les hindous se référant à un Livre révélé (là c’est très, très rare…).



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