Fatima, un chapitre du livre du Message divin (2ème partie)S’y trouvent les Preuves divines les plus évidentes ; il nous a été donné de recevoir le commentaire des ordres de Dieu et d’y lire le pourquoi des interdits. Il nous est rendu possible d’analyser les arguments probants et suffisants qui nous ont été présentés. Dans ce Livre, ont été écrits tous les devoirs moraux qui sont les nôtres, tout ce qui est légal et tout ce qui nous est permis. Dieu vous a accordé "la Foi" comme purification de l’association et il vous a donné "la Prière" pour effacer l’orgueil et la prétention en vous. Il a donné "la Zakât" pour purifier l’esprit et accroître la subsistance ; Il nous a donné "le jeûne" comme ciment pour la sincérité et "le Hajj" aussi pour renforcer le pouvoir de l’islam. Dieu nous a accordé "Justice" pour homogénéiser les cœurs. Il nous a donné l’obéissance comme raison d’être du peuple de l’islam et l’Imâmat afin de lutter contre les divisions et la dispersion. Il nous a donné aussi "le jihâd" pour garantir la Gloire de l’islam ainsi que l’humiliation des infidèles et des hypocrites. Il nous a donné "la Patience" et "la Résistance" afin de mériter la Récompense divine. Il nous a invités à commander "de faire le Bien" et nous enjoints à interdire de faire le mal pour nous permettre de corriger les peuples. Et Il nous a commandé "le Respect des parents", pour nous éviter la colère de Dieu. Dieu nous a commandé de préserver les relations familiales afin de s’assurer longue vie et nous a commandé "la loi du Talion » pour éviter le meurtre. Il nous a proscrit l’accusation et les insultes pour échapper à la malédiction de Dieu ; Il nous a interdit le vol pour préserver la chasteté d’esprit et nous a interdit l’association pour achever notre sincérité envers Lui en tant que notre Maître. Puisqu’il en est ainsi, craignez-Le et obéissez Lui autant qu’Il le mérite et faites en sorte de quitter ce monde en musulmans. Obéissez à Dieu en ce qu’Il a vous prescrit et en ce qu’il vous a proscrit et or seuls les savants parmi Ses serviteurs, craignent Dieu. ش gens, sachez qu’en vérité je suis Fâtima, que mon père est Mohammad, que le salut et la paix de Dieu Soit sur lui et toute sa famille, et que ce que je dis, du début à la fin, n’est pas entaché d’erreur, ce que je fais, je ne le fais pas par quelque divagation :
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