La lutte intellectuelle des MessagersLe peuple de Noé a aussi traité les Prophètes d’imposteurs, et lorsque leur frère Noé leur dit : ‘Ne craindrez-vous pas Allah ? Je viens à vous en messager digne de confiance. Craignez donc Allah et obéissez-moi ! Je ne vous réclame aucun salaire ; je n’attends ma récompense que du Maître de l’Univers.’ (Sourate as-Shuaraa, 105-109) Les Aad traitèrent de menteurs les Envoyés. Et quand Hud, leur frère (contribule), leur dit : ‘Ne craindrez-vous pas [Allah] ? Je suis pour vous un messager digne de confiance, craignez Allah donc et obéissez-moi. Et je ne vous demande pas de salaire pour cela; mon salaire n'incombe qu'au Seigneur de l'univers.’ (Souarate as-Shuaraa, 123-127) Les Thamûd traitèrent aussi les Prophètes de menteurs, et lorsque leur frère Sâlih leur dit : ‘Ne craindrez-vous donc pas Allah ? Je suis pour vous un messager digne de confiance ! Craignez donc Allah et obéissez-moi ! Je ne vous réclame aucun salaire ; je n’attends ma récompense que du Maître de l’Univers.’ (Souarate as-Shuaraa, 141-145) Le peuple de Lot traita de menteurs les Messagers, quand leur frère Lot leur dit: ‹Ne craindrez-vous pas [Allah] ? Je suis pour vous un messager digne de confiance. Craignez Allah donc et obéissez-moi. Je ne vous demande pas de salaire pour cela; mon salaire n'incombe qu'au Seigneur de l'univers. (Souarate as-Shuaraa, 160-164) Les habitants d’al-Ayka ont également traité les prophètes d’imposteurs, lorsque Shu`ayb leur dit : ‘Pourquoi ne craignez-vous pas le Seigneur ? Je suis pour vous un messager digne de confiance ! Craignez Allah et obéissez-moi ! Je ne vous réclame aucun salaire, car je n’attends ma récompense que du Maître de l’Univers.’ (Souarate as-Shuaraa, 176-180)
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