LE CORAN Le Miracle des Miracles



Cependant, méfiez-vous des concordances de la Bible car elles ne vous seront d’aucune aide. Il vous faudra feuilleter la Bible tout comme je l’ai fait.

DES CONCORDANCES INUTILES

J’ai consulté deux Concordances de Bible, l’une publiée par les témoins de Jéhova " la secte qui se propage le plus vite au sein de la chrétienté " et l’autre intitulée "La concor­dance analytique de Young à la Bible" (Young’s Analytical Concordance to the Bible). Ces deux concordances s’enor­gueillissent de plus de 300 000 mots chacune. La dernière n’en compte pas moins de 277 actuellement catalogués, mais pas un seul "maintenant" (il était une fois) comme précité. Vous en devinez la raison (1). Je ne saurais vous faire plus attendre, ni vous retarder. "Racontez-nous donc Votre ver­sion de Votre révélation du Coran !"

"C’était le vingt-septième jour du mois de Ramadan, Mohammed (Ç) était allé à cette grotte de Hira, dans la ban­lieue de la ville de La Mecque. il se retirait dans la montagne de Hira pour retrouver la sérénité et méditer sur les pro­blèmes de son peuple, tels que l’alcoolisme, l’adultère, l’ido­lâtrerie, les guerres et autres lots d’injustice et de cruauté. D’ailleurs, Gibbon, le grand historien, écrivait dans "Decine


1.  Car ce ne sont que des réminiscences enfantines (il était une fois...) qui ne sont pas appropriées à la parole de Dieu.

and FaIl of the Roman Empire" (Histoire du déclin et de la chute de l’empire romain):

"La brute (l’Arabe) quasiment dépourvu d’intelligence ne se distingue que difficilement du reste de la création animale".

Il se retirait quelquefois seul à lira, souvent en compa­gnie de sa femme bien-aimée Oum al-Mû’minîn (mère des Croyants) Khadijatû-l-Kûbra, pour y trouver la paix et mé­diter.

LA PREMIERE RÈVÉLATION

Au beau milieu d’une nuit " la nuit de Laylatû-l-Qadr (la nuit de la Puissance et de l’Excellence) " alors que la Paix di­vine descendait sur le monde et que la nature se tournait vers le Seigneur, le Livre de Dieu s’ouvrit à l’âme assoiffée. l’Archange Gabriel lui apparut et lui ordonna de dire dans sa langue maternelle IqrA’, qui signifie "lit" ou "récite" ou "répète" ou "proclame" à haute voix ! Mohammed (Ç) était ef­frayé et n’était pas préparé à un tel choc. Il ne s’agissait pas, pour Mohammed (Ç), d’une cérémonie de remise de diplôme. Effrayé, il cria MA anâ biqâ n’ in signifiant "Je ne suis pas instruit !" L’ange réitéra son ordre : Iqra’ pour la deuxième fois et Mohammed (Ç) y répondit de la même façon. Gabriel l’enlaça et lui intima pour la troisième fois:

"Lis, au nom de Dieu
le plus clément
qui créa..."

Alors, Mohammed (Ç) comprit qu’il fallait répéter ces pa­roles et que le terme arabe Iqra’ résumait toute sa tâche, à sa­voir lire, réciter ou répéter! Au cours de la première visite de

Gabriel, au 1er verset de la sourate AI ‘Alaq (chapitre 96 du Saint Coran) succédèrent quatre autres versets que Mo­hammed (Ç) dut répéter et transcrire dans le Saint Coran. (Voir page 39)



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