LE CORAN Le Miracle des Miracles
Permettez-moi à présent de vous donner mon avis quant à la Révélation qui est l'objet de notre discussion: inspiration divine, Parole de Dieu.
6. TENTATIVE ARABE DE THEOLOGIE
De par la décision du Messager d'AIlah, il est universale ment reconnu que tout musulman qui prononce trois fois les quatre versets (ci-dessus) en respectant scrupuleusement le texte primitif en éprouvera autant d'avantages spirituels que s'il avait lu tout le Coran.
Qu'est-ce qui donne autant de valeur à cette courte sou rate (chapitre)? Ce n'est ni la sonorité, ni la musicalité de
1. Vous aurez beaucoup de plaisir, ainsi que vos amis musulmans et non musulmans. Ã lire cette traduction.
cette symphonie inimitable qui conduit les êtres humains à l'extase et aux larmes. Cest le Message, qui donne à cette tentative acerbe de religion toute sa noblesse et sa suprématie.
il n'existe pas de théologie ou de concept de Dieu qui ne soit contenu dans ces quatre courts versets, qui sont las "pierres de touche" de la connaissance de Dieu. Grftce à ces versets, l'on accepte ou rejette toute idée de Dieu, l'on recon naît le bien du mal. Tout comme la "pierre de touche" permet aux bijoutiers de reconnaître l'or. Demandez à un bijoutier quel "magnétisme" exerce sa "pierre de touche" : De quelle façon le Coran a-t-il pu bénéficier de ce "magnétisme"?
GRACE AU " CENTRE INFORMATIQUE "
Alors que les préparatifs de ma visite en Zambie, pour un voyage de conférences prévu pour le milieu de 1975, étaient en cours, je fus informé par un appel téléphonique de Lusa ka que mon billet était disponible à Durban et que je pourrais le retirer au siège social de la South African Airways.
Je me rendis donc aux bureaux de la compagnie aérienne et réclamai mon billet à un responsable du guichet de l'information, tout en précisant que le billet avait été envoyé de Lusaka. il me demanda de m'adresser à l'une des douze employées assises en demi-cercle, chacune derrière un termi nal d'ordinateur. Presque toutes étaient déjà occupées avec des clients. "Laquelle ?" demandai-je. Le responsable, appa remment excédé, se tordant les mains, dit d'un ton sec "N'importe laquelle !" en montrant les employées assises.
Je ne compris pas alors la raison pour laquelle ma ques tion, simple et innocente, avait pu énerver cet homme précé demment si poli. Je m'attendais à ce que l'on me remette un
grand carnet de bons. J'en avais déjà eu auparavant et même utilisé à différentes reprises, donc je savais ce pourquoi je venais. Alors, comment une de ces employées pouvait-elle bien être en possession de mon billet? Je me posais la ques tion. Mais le ton irrité de la voix de l'homme ne me laissa pas d'autre alternative que chercher mon renseignement!
Timidement, je m'approchai de la première employée que je vis libre et lui exposai les faits. Elle s'enquit de mon nom, je le lui épelai et aussitôt elle commença à le taper sur l'ordinateur.
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