LE CORAN Le Miracle des Miracles
Tout d'abord, il refusa d'accéder à la demande des Juifs, mais nous apprenons par les récits évangéliques, qu'en fait, il avait accompli plusieurs miracles.
La Bible regorge d'événements surnaturels attribués aux Prophètes par leur Seigneur. En réalité, "tous ces signes", "merveilles" et "miracles" étaient des actes de Dieu, étant donné qu'ils étaient réalisés à travers ces agents. Nous les décrirons comme étant les miracles de Moïse ou de Jésus (que la Paix soit sur eux) grâce auxquels ils étaient accom plis.
L'ÉQUIVOQUE PERSISTE
Mohammed (Ç)*, le Messager de Dieu, naquit quelque six siècles après Jésus, à la Mecque en Arabie. Quand il eut annoncé samission à l'âge de quarante ans, ses concitoyens,
(*) Abréviation de la formule de révérence : "Que les Prières (Çalâts) d'Allah soient sur Lui et ses Descendants". 1. Un ouvrage portant le même titre est disponible à l'IPCI. 2. Quel fut le résultat du seul signe que Jésus était prêt à donner ? De mandez un exemplaire du livre : "Quel était le signe de Jonas" à l'IPCI qui en fait un exposé détaillé.
les Mushriqîn(s) (1) firent une requête identique de miracles comme celle des Juifs à leur Messie promis. C'était comme si, les Arabes ayant arraché une feuille du livre chrétien, l'histoire se répétait:
"Et ils dirent Si seulement des signes (2) venus de son Seigneur étaient descendus sur lui !"
DES SIGNES, QUELS SIGNES?
"Des miracles, dit-il, mais quels miracles voudriez-vous? N'en êtes-vous pas vous-mêmes ? Dieu vous a créé,façonné dans l'argile. Nous étions petits alors, et ily a quelques an nées nous n'étions rien. Nous possédons Beauté, Force et Intelligence. Nous connaissons la pitié l'un pour l'autre. La vieillesse vient avec les cheveux gris, les forces s'affai blissent. Nous sombrons et disparaissons. Nous avons pitié l'un de l'autre. Il m'apparaît qu'Allah aura itfait en sorte que nous n'ayions pas de compassion l'un pour l'autre. Com ment aurait-ce été alors ! Voici une pensée universelle, un aperçu de la profondeur des choses".
Thomas Carlyle, "On Heroes Hero-Worship and the Heroic in History"
1. Mushriqîn(s) : païens, idolâtres, polythéistes. 2. Signes : le mot arabe est "ayât" qui signifie littéralement "signes" qui se rapproche du sens du texte. Le Saint Coran ne mentionne pas le mot "mu'jazah" (miracle).
MON GRAND ETONNEMENT
La lecture de cette phrase en anglais "Nous éprouvons de la pitié l'un envers l'autre" impressionna Thomas Carlyle. Je suppose que le verset qui créa chez lui ce sentiment est le suivant:
1) Traduction de A. Yusuf 'Ail
"Parmi ses signes, issus de vous, des compagnes, afin que vous reposiez auprès d'elles en Paix, et il a établi l'amour et la bonté entre vous" Ily a vraiment des signes pour ceux qui réfléchissent" (Saint Coran 30:21)
|