MOHAMMED LE PLUS GRANDSA DÉSAPROBATION Alors que Mohammed (Ç) s'entretenait avec les païens de sa tribu, Dieu Tout-Puissant envoie Gabriel, l'Ange de la révélation avec cette exhortation : "Il s'est renfrogné Coran 80:1-4 Le Saint-Prophète (Ç) n'appréciait pas du tout l'inter ruption. Les sentiments du pauvre homme avaient sans doute été blessés, mais, Lui dont le bon caeur avait toujours compati aux pauvres et aux affligés, eut une nouvelle Révé lation de son Dieu et, sans la moindre hésitation, la divulgua pour l'éternité ! Plus tard, chaque fois qu'il rencontrait l'aveugle, il le re cevait avec bienveillance et le remerciait car, grâce à lui, (l'aveugle), le Seigneur s'était souvenu de lui. Alors que Mohammed (Ç) était hors de Médine, l'aveugle fut nommé deux fois gouverneur de la ville. C'était ainsi que s'exprimaient la sincérité et la gratitude du Prophète-héros de Carlyle. SA FIDÉLITÉ (1) 2. "C,est une grâce illimitée... il n'oublia jamais cette bonne KhadJîja. Longtemps après, `Aîcha sa jeune femme préf érée, une femme qui se distingua de son vivant, parmi les musulmans, grâce à ses différentes qualités; cette jeune et brillante `Aîcha un jour, le questionna : "A pré sent, ne suis-je pas meilleure que Khadî jâ ? Elle était veuve, âgée et n'avait plus très belle allure : tu m'aimes mieux que tu ne l'as jamais aimée ?. . . Non, par Allah !" répondit Mohammed (Ç). "Non, Par Allah ! Elle a cru eq moi lorsque personne ne croyait en moi. De par tout le inonde entier, je n'avais qu'une amie et c'était elle"." "Heros and Hero-Worship", p. 76 C'eût été plus facile de repousser la tentation du diable que de succomber à une jeune femme aussi aimable, brillante et belle que Madame `Aîcha Siddiqa. Pourquoi ne pas la lais ser apprécier le doux et apaisant baume de la batterie ? Cela ne nu;sait à personne. Même la conscience de Bibi Khadîja, mère de la fidèle, apprécierait la finesse de cette ruse. Avec Mohammed, il n'y a pas de honte, ni de mensonge innocent. De tels traits de caractère nous dépeignent l'homme à travers quatorze siècles... le véritable fils de la mère que nous partageons. AL-AMIN, LE FIDELE 3. a) "Un homme, défenseur de la vérité et de la fidélité, juste dans ses actions, ses paroles et ses pensées. Ils constatèrent qu il voulait toujours dire quelque chose, un homme aux propos plutôt taciturnes, silencieux quand il n'avait rien à dire, mais plein de pertinence, avisé et sincère quand il prenait la parole; et insistant toujours sur les problèmes. C'est là la seule sorte de discours qui vaille la peine d'être prononcé !" "Heros and Hero-Worship", p. 69 b)
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