MOHAMMED LE PLUS GRANDCe ne sont pas de simples banalités, de beaux sentiments sans actes. Mohammed (Ç) mettait en pratique ce qu'il prê chait Parmi ses premiers sahaba(s) (compagnons) et convertis, outre les Arabes, on peut compter Bilal l'Abbyssinien, Sal man le Perse et `Abdullah B in Sal.lâm le Juif. Ceux qui dou tent peuvent toujours dire que cela était forfait, mais que peu vent-ils dire quant au fait historique, qu'avant de mourir il avait déjà transmis cinq épîtres, une pour chacun des cinq pays voisins, les priant d'entrer dans la religion de l'Islam. 1. L'empereur de Perse Ainsi, il donna l'exemple pour l'accomplissement de sa mission, la grandeur de son but, le retour de toute l'humanité dans le bercail du Maître. Existe-t-il un autre exemple d'une telle universalité dans une autre religion ? Mohammed (Ç) n'avait pas entrepris de tenir ou casser des records, il réalisait seulement l'espoir que le Seigneur de la Création avait placé en lui. 2. PETITESSE DES MOYENS Mohammed (Ç) n'est "pas né coiffé". Ses débuts ne re cueillèrent qu'un soutien infime. Son père était déjà mort à sa naissance. Sa mère mourut alors qu'il n'avait que six ans. Il était ainsi orphelin de père et mère dès son plus jeune âge. Son grand-père, `Abdul-Muttalib prit alors soin de lui, mais il mourut dans les trois années qui suivirent. Dès qu'il le put, il commença à garder les moutons et les chèvres de son oncle Abû Tâlib pour gagner sa vie. "Ils le trouvèrent de l'autre côté de la mer et lui dirent "Rabbî, quand es-tu venu ici ?" Jésus répondit : "En vérité, je vous le dis, vous me cherchez, non parce que vous avez vu des miracles (1), mais parce que vous avez mangé des pains et que vous avez été rassasiés"." Jean 6:25-26 1. Halo ou auréole : cercle imaginaire lumineux qui surmonte la tête des saints et des saintes dans les peintures religieuses. RIEN A OFFRIR Mohammed (Ç) n'avait ni pain, ni viande à offrir, aucune sucrerie dans le monde d'ici-bas ou dans l'autre ! II pouvait seulement donner à son pauvre peuple de bergers, le sens du combat et des épreuves, et aussi l'étreinte de leurs vies ici bas, ainsi que la jouissance de Dieu dans l'Au-delà .
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