LE SAINT CORAN ET L'EAU



 Ø£ÙŽÙ„َمْ تَرَى أَنَّ اللهَ أَنْزَلَ مِنَ السَّمَاءِ مَاءً فَتُصْبِحُ الأَرْضَ مُخْضَرَةً إِنَّ اللهَ لَطِيفٌ خَبِيرٌ .

Comment une terre éteinte, morte peut-elle devenir verte et revivifiée après avoir reçu une quantité suffisante d’eau? Notre Seigneur dit:

«Regardez donc aux traces de la miséricorde de Dieu, comme Il donne vie à la terre une fois morte! C’est Lui, certes oui, le revivificateur des morts, tandis qu’Il est capable à tout». (XXX-50).

 ÙÙŽØ§Ù†Ù’ظُرِ إِلَى أَثَرِ رَحْمَةِ اللهِ كَيْفَ يُحْيِ الأَرْضَ بَعْدَ مَوْتِهَا إِنَّ ذَلِكَ لَمُحْيِ المَوْتَى وَهُوَ عَلَى كُلِّ شَيْءٍ قَدِيرٌ .

«Ne le vois-tu pas? Oui, Dieu fait descendre du ciel, de l’eau, puis Il l’achemine en sources dans la terre; par-là, ensuite, Il fait sortir une culture aux couleurs diverses, laquelle se fane, ensuite, de sorte que tu la vois jaunie; ensuite Il la rend sèche, cassante. Voilà bien là, vraiment un rappel aux doués d’intelligence!». (XXXIX-21).

 Ø£Ù„ََمْ تَرَى أَنَّ اللهَ أَنْزَلَ مِنَ السَّمَاءِ مَاءً فَسَلَكَهُ، يَنَابِيعَ فِي الأَرْضِ ثُمَّ يُخْرِجُ بِهِ زَرْعاً مُخْتَلِفاً أَلْوَانُهُ، ثُمَّ يَهِيجُ فَتَرَاهُ مُصْفَرَّا ثُمَّ يَجْعَلُهُ حُطَاماً إِنَّ فِي ذَلِكَ لَذِكْرَى لِأُولِي الأَلْبَابِ .

La terre, même morte est une entité biologique complexe, elle n’est pas seulement un milieu minéral, car ayant servi de support aux plantes et hébergé quelques animalcules et des microbes, elle renferme des débris des restes de végétaux et d’animaux qui constituent la matière organique du sol. Elle renferme aussi plusieurs espèces de graines libérées par les plantes ou semées par l’homme.

Ces graines sont en vie ralentie et chaque graine, forme de résistance et de dissémination de l’espèce est formée d’un embryon, de réserves protégées par des téguments. Le Coran dit:

«Et auprès de lui sont les clefs de l’invisible. Ne les connaît que lui. Et Il connaît ce qui est dans la terre ferme, comme dans la mer. Et pas une feuille ne tombe qu’il ne le sache. Et pas une graine dans les ténèbres de la terre, et rien de frais ou de sec, qui ne soit pas dans le Livre évident». (VI-59).

 ÙˆÙŽØ¹ÙÙ†Ù’دُهُ، مَفَاتِحُ الغَيْبِ لاَ يَعْلَمُهَا إِلاَّ هُوَ وَيَعْلَمُ مَا فِي البَرِّ وَالبَحْرِ وَمَا تَسْقُطُ مِنْ وَرَقَةٍ إِلاَّ يَعْلَمُهَا وَلاَ حَبَّةٍ فِي ظُلُمَاتِ الأَرْضِ وَلاَ رَطْبٍ وَلاَ يَابِسٍ إِلاَّ فِي كِتَابٍ مُبِينٍ .



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