LE SAINT CORAN ET L'EAU



D’après les hydrologues l’eau douce qui nous permet une eau potable ne représente que 0,8% de l’eau totale de la terre. Cette eau est soumise à un cycle permanent: évaporation précipitation et écoulement.

Cette minuscule quantité d’eau douce n’a jamais variée, elle est toujours restée la même et elle est mesurée selon la quantité d’eau évaporée, car toute l’eau de la terre vient du ciel, et toute celle du ciel vient de la terre. Et au lieu de la protéger avec tous les moyens dont il dispose, l’homme lui fait courir les plus grands dangers et s’expose lui-même à la catastrophe. Il est bien certain que l’homme est l’élément le plus actif et le plus dangereux pour la nature, il est le premier responsable de son désordre.

L’homme avec ses actions désastreuses: déboisement, désertification, pollution… est en train de détruire les bases mêmes de son existence en ignorant que l’eau douce est une matière de plus en plus rare et que les réserves d’eau s’épuisent de plus en plus.

L’IMPORTANCE DE L’EAU POUR L’ANIMAL

Dieu le très haut dit:

«Et dans l’eau que Dieu fait descendre du ciel, par quoi il rend vie à la terre une fois morte et y répand des bêtes de toute espèce ». (II-164).

 ÙˆÙŽÙ…َا أَنْزَلَ اللهُ مِنْ السَّمَاءِ مِنْ مَاءٍ فَأَحْيَا بِهِ الأَرْضَ بَعْدَ مَوْتِهَا وَبَثَّ فِيهَا مِنْ كُلِّ دَابَّةٍ .

Comme tous les végétaux, les animaux ont aussi pour origine l’eau. En 1930 Gortner (Benzech, III page 69) a constaté qu’une médusé de 500g ne pèse plus que 0,45g après dessiccation.

Les animaux peuvent conserver leur eau à l’intérieur de l’organisme sous forme de lymphe et de plasma sanguin. Ils compensent, en buvant et en mangeant, les pertes d’eau consécutives à la transpiration, respiration et excrétion.

L’eau joue un rôle vital pour les animaux c’est un liquide biologique par excellence, elle permet la réalisation des réactions métaboliques qui assurent la destruction et la reconstitution permanentes des tissus vivants.

Les animaux comme les végétaux ne peuvent pas résister indéfiniment à la déshydrations. Un ver de terre par exemple résiste à la dessiccation jusqu’à perdre 43% de son poids et devient rigide et cassant mais peut-être revivifié s’il est trompé dans l’eau. A partir de 50% de son poids il est tout à fait mort.



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