DE LA BONTE ET DE LASSISTANCE
de l'homicide volontaire
un autre cas d'injustice qui, dans la loi sacrée de l'islam, est réprouvée et blâmée est l'homicide volontaire le meurtre de l'innocent.
l'homicide volontaire est l'un des plus grands péchés; dieu, le tout puissant, dans sa parole, condamne catégoriquement le meurtre; qu'il y ait une ou des milliers de victimes ne change rien à la gravité de péché parce que celui qui tue un homme porte atteinte à l'humanité. tous les hommes se trouvent concernés par le meurtre d'un de leurs semblables.
de ceux qui abusent des biens de l'orphelin
si la raison et la loi divine approuvent la bonté et la charité, elles réprouvent et blâment toute mauvaise action vis-à -vis des créatures de dieu. dans la loi religieuse sacrée, parmi tous les méfaits et les abus, un certain nombre sont violemment prohibés. l'un d'eux concerne labus des biens de l'orphelin.
l'islam, tient la dilapidation des biens de l'orphelin pour l'un des plus grands péchés. dans le noble coran, il est précisé que celui qui dilapide les biens de l'orphelin se nourrit, en réalité, de feu et sera bient6t jeté au milieu des flammes. et, si les saints imams réitèrent le discours coranique, la raison est que si l'on porte préjudice à un adulte, celui-ci peut réagir et défendre ses droits; tandis qu'un jeune orphelin ne peut se défendre.
désespérer de la miséricorde de dieu
l'un des plus dangereux péchés pour l'islam est désespérer de la miséricorde de dieu. dieu, le très haut, déclare: "dis: o mes serviteurs! vous qui avez commis des excès à votre propre détriment, ne désespérez pas de la miséricorde de dieu. dieu pardonne tous les péchés. oui, i1 est celui qui pardonne; i1 est le miséricordieux" (coran, 39:53).
dans un autre passage coranique, celui qui désespère de la miséricorde divine est considéré comme impie. en effet, si quelqu'un perd l'espoir en la miséricorde, en la clémence de dieu, il na alors plus de motivation intérieure et, dans sa vie, rien ne le stimule aux bonnes actions, rien ne l'encourage à sabstenir de pécher; car, l'instigateur essentiel de l'homme réside dans "l'espoir en la miséricorde" et en "la délivrance du châtiment divin". quand cet espoir n'existe plus chez un individu, du point de vue des convictions, des sentiments et des qualités spirituelles, cet homme ne diffère en rien du mécréant.
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