LE JEUNE DU RAMADHAN



Ô mon Dieu! Je commence l'éloge par Ta louange, car c'est Toi qui conduis immanquablement et par Ta faveur, vers la Vérité,

(wa ayqanto Annaka arham-or-rahimîn(a) fî mawdhi`-il-`afwi wa-r-rahmah, wa achad-dol-mo`âqibîna fî mawdhi`-in-nikâli wan-naqamah, wa a`dham-ol-motajabbirîna fî mawdhi`-il-kibriyâ'i wa-l-`adhamah)

et parce que j'ai acquis la conviction que Tu es le plus Clément des cléments quand il s'agit de Pardon et de Miséricorde, le plus ferme de ceux qui punissent, lorsqu'il s'agit de Châtiment et de Vengeance, et le plus Grand des grands; lorsqu'il s'agit de Gloire et de Majesté.

(Allâhomma athinta lî fî do`â'ika wa mas'alatika: f-asma` yâ Samî`o midhatî, wa ajib yâ Rahîmo da`watî, wa aqil yâ Ghafûro `athratî)

Ô mon Dieu! Tu m'as autorisé à T'invoquer et à Te Solliciter; entends donc, Ô Toi qui écoutes, mon éloge! Réponds donc, Ô Clément, à mon invocation; et pardonne donc, Ô continuel Pardonneur, mes trébuchements!

(fakam, yâ Ilâhî, min korbatin qad farajtahâ, wa homûmin qad kachatahâ, wa `athratin qad aqaltahâ, wa rahmatin qad nachartahâ, wa halaqata balâ'in qad fakaktahâ.)

Car combien de peines, Ô mon Dieu, n'as-Tu pas soulagées? et combien de soucis, n'as-Tu pas absous? et combien de Miséricorde n'as-Tu pas répandue? et combien de cercles de malheur, n'as-Tu pas dénoués?

(alhamdo lil-Lâh-il-lathî lam yattakhith çâhibatain wa lâ waladâ(n), wa lam yakon laho charîkan fi-l-molki, wa lam yakon laho waliyy-on min-ath-tholli, wa kabbirho takbîrâ(n).

Louange à Dieu qui ne s'est donné ni compagne ni enfant, qui n'a pas d'associé dans la Royauté, qui n'a pas besoin de protecteur pour Le défendre contre l'humiliation, et dont on doit donc proclamer hautement la Grandeur.

(alhamdo lillâhi bi-jamî`i mahâmidihi kollihâ, `alâ jamî`i ni`amihi kollihâ)



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