L’ordonnance du bien et l’interdiction du blâmable



- La descente des châtiments divins

- La privation des richesses.

( Ils ne s’interdisaient pas mutuellement les actions blâmables qu’ils commettaient. Que leurs actions étaient exécrables ! )

Au niveau individuel :

- L’affaiblissement de la foi

- La participation aux pêchés

- La privation du bonheur, d’une vie heureuse

- La descente de la colère divine.

On demanda au prophète (ç )quel est l’acte le plus détestable. Il (ç ) répondit : « L’ordonnance du blâmable et l’interdiction du bien » . « Quand les critères sont remplacés par d’autres ( dans la société ), alors ceux qui demandent la vie sur terre, qui aime plus le suivi des passions, qui sont les habiles à réaliser leurs intérêts personnels, occupent les postes centraux. Le résultat est que des gens comme Oumar ibn Sa’ad et Obeydullah ibn Ziyâd deviennent les chefs et Hussein (as ), fils d’Ali (as) et ses partisans sont égorgés, tombés en martyres à Karbala.

Ceux qui ont le sens des responsabilités n’ont pas le droit de laisser disparaître les critères divins de la société. Si les critères de la piété au sein de la société venaient ( à disparaître au profit d’autres critères erronées, matériels,vains ), il est évident que le sang des gens purs comme celui de L’imam Hussein (as) se mettrait à couler.

La société islamique reste vivante par l’ordonnance du bien et l’interdiction du blâmable. De même, le gouvernement islamique se maintient vivant dans la société par le maintien de l’ordonnance du bien et l’interdiction du blâmable »

 



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