L’ordonnance du bien et l’interdiction du blâmableLa surveillance par l’intermédiaire de l’ordonnance du bien et l’interdiction du blâmable est général et englobe tout le monde,sans exception, même ceux qui ont une position sociale, une fonction importante ou un rang élevé. Si une personne ayant des responsabilités politiques ou militaires élevées est vue faisant quelque chose de blâmable, n’importe qui a la possibilité de s’opposer à ce qu’elle la base de l’ordonnance du bien et de l’interdiction du blâmable est le principe, rapporté par L’imam Sâdeq (as) citant L’imam Ali ( p), selon lequel « celui qui fait une injustice, celui qui est consentant et celui qui les aides, sont associés ». L’imam Ali ( p) , le prince des croyants disait : « Ce qui rassemble les gens, c’est le consentement et le mécontentement. Ainsi, celui qui d’accord avec une chose, s’y associe et celui qui est contre , s’en exclu. » Aussi, les croyants doivent-ils réagir aux choses blâmables en tenant compte des circonstances et des conditions. Ils n’ont pas le droit de se taire. Est-ce qu’une institution peut se maintenir sans aucune sorte de surveillance, ni de suivi des affaires générales par quelqu’un de particulier ? Remarquait Shahîd Mutahari au cours de ces sermons d’Achoura rassemblés dans sont livre Al Malhamat Husseiniyat. A fortiori pour la société islamique. Même ! L’intérêt porté à cette question devrait être plus grand et plus précis. L’ordonnance du bien et l’interdiction du blâmable constituent la base, le moyen de surveillance de l’application totale des lois islamiques et de la construction de la nation islamique. Elles sont le seul principe qui assure le maintien de l’islam. LES CARACTERISTIQUES QUE DOIT AVOIR CELUI QUI ORDONNE
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