L’ordonnance du bien et l’interdiction du blâmableAussi ( les savants ), doivent-ils acquérir la morale des prophètes ( p) et de se débarrasser de la morale des ignorants et des spirituels des gens accrochés à la vie de ce monde, afin d’ordonner le bien et d’interdit le blâmable par leurs actes et leur bon comportement et servir de modèle aux autres. S’il n’en était pas ainsi, que Dieu nous en préserve, et que les gens voient que le savant appelle au contraire de ce que disent les prophètes ( ç) et que les chefs de la nation ne font pas ce qu’ils disent, alors cela ne pourra qu’entraîner un affaiblissement de leur croyance et une hardiesse à accomplir des péchés et une mauvaise opinion des réformateurs purs. Alors aux savants et aux chefs de confession d’éviter de se prêter à des accusations, et, notamment à celle, la plus grave, de se rapprocher des despotes tyranniques et des chefs injustes ! A la nation musulmane, dans le cas où elle voit un savant être ainsi, de considérer comme justes ses actes, en tenant compte de toutes les suppositions possibles. Sinon, elle doit s’en écarter et le rejeter parce qu’il n’est un homme religieux spirituel, mais quelqu’un qui s’est vêtu de l’habit des spirituels, un démon sous le manteau des savants. Que Dieu nous protège des gens semblables et de leurs effets néfastes sur l’Islam . L’imam Ali ( p) affirmait,dans un des ses sermons, qu’une des principales raisons de la décadence des nations est la négligence et l’abandon par les savants de l’ordonnance du bien et l’interdiction du blâmable. Aussi, appelait-il les gens à ne pas négliger cette obligation enfin de protéger la société et éviter sa décadence. Car l’ordonnance du bien et l’interdiction du blâmable est un des symboles de la grandeur de la civilisation islamique et la cause de son maintien LES CONDICTIONS DE L’ORDONNANCE DU BIEN
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