La causerie de la prière (al-s.alât)



9 - [Lorsque le prieur pose, intentionnellement, une main sur l'autre lorsqu'il est debout pour faire preuve d'humilité et de politesse envers Dieu (qu'Il soit exalté), hormis en situation de circonspection (al-taqiyya)]. C'est ce qu'on appelle al-takfır.

10 - Lorsque la personne qui fait la prière derrière un Imâm dit à la fin de la récitation du chapitre liminaire (al-fatiha) [ou le prieur isolé après la récitation du même chapitre], le mot «âmın», intentionnellement hormis en situation de circonspection.

On parle chez nous aussi d'un autre sujet, celui du «doute» relatif à la prière.

■Est-ce que le doute au sujet d'une prière peut la rendre invalide?

- Le doute n'invalide pas la prière toujours et dans tous les cas. Il y a des doutes qui l'invalident certes, mais il y a d'autres qu'on peut corriger et des troisièmes qu'il ne faut pas prendre en compte.

Globalement, je peux te rappeler dans des règles générales ces différentes sortes de doute.

La première règle : toute personne qui doute de la validité de sa prière après l'avoir terminé doit considérer sa prière valide.

â– Par exemple?

- Si tu doutes du nombre des rak‘ât accomplies après avoir effectué la prière du matin, tu dois te dire : ma prière est valide.

La deuxième règle : toute personne doutant de la validité d'une partie de la prière après l'avoir fait, doit considérer cette partie comme valide et sa prière aussi.



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