La causerie de la prière (al-s.alât)Intrigué, je lui ai demandé de m'éclairer à ce propos et il m'a répondu : Tu as le choix de les faire deux par deux ou de les séparer. 13 - J'ai dit à mon père : je t'ai entendu, lorsque tu lis le chapitre Al-Qadr (la destinée), insisté sur le l dans le verset coranique : «innâ anzalnâhu fı laylati al-qadr», alors que certains prononcent le même verset, quasiment, sans le l dans «innâ anzalnâhu». Je t'ai entendu lire, aussi, subhâna rabbıya al-‘az.im wa bihamdihi (Gloire et Louange à Mon seigneur, Le Très Grand) en mettant une d.amma (u) sur le s de subhâna et une fatha (a) sur rabbıya au moment où d'autres ne font rien de cela. - Ne t'ai-je pas dit de faire attention à ta lecture. «La deuxième causerie de la prière»(2) Avant notre rendez-vous pour la seconde causerie de la prière, j'ai essayé de repasser en revue les éléments développés dans la causerie précédente pour tester mes capacités à mémoriser et dresser la liste des questions non soulevées jusqu'à présent afin de les poser durant la causerie à venir. Et dès l'arrivée de mon père, j'ai pris l'initiative de l'interpeller en lui posant la question suivante : Pourrais-je accomplir la prière du soir en ne faisant que deux rak‘ât? - Non. Ne t'ai-je pas dit que cette prière compte quatre rak‘ât?
|