La causerie de la prière (al-s.alât)



â– Par exemple?

- Si tu doutes de la validité de ta récitation, de ta génuflexion ou de ta prosternation après avoir fini une de ces trois parties, tu dois te dire ma récitation, ou ma génuflexion ou ma prosternation est valide et que ma prière l'est également.

La troisième règle : toute personne qui doute d'avoir oui ou non accompli une partie de la prière après avoir entrepris la partie suivante, doit considérer que la partie au sujet de laquelle elle a un doute est accomplie et que sa prière est valide.

â– Par exemple?

- Si tu doutes si oui ou non tu as lu le chapitre liminaire alors que tu es déjà en train de lire le second chapitre, tu dois te dire : je l'ai lu et poursuis ta prière. La même règle s'applique si le doute te gagne au sujet de la récitation ou non du second chapitre au moment où tu effectues la génuflexion. Dans ce cas aussi, tu dois continuer ta prière et la considérer comme valide.

La quatrième règle : toute personne souffrant d'un excès de doute dépassant la limite naturelle ne doit pas tenir compte de ces doutes lors de la prière et doit la considérer comme valide.

â– Par exemple?

- Si tu es quelqu'un qui doute beaucoup et que le doute te gagne au sujet du nombre des rak‘ât de la prière du matin que tu es en train d'effectuer, ne tiens pas compte de doute et considère ta prière valide. La même règle s'applique si tu doutes du nombre des prosternations effectuées. Dans tous les cas, celui qui souffre d'un excès de doute ne doit pas tenir compte de cela et doit toujours considérer sa prière valide.

â– Mais comment pourrais-je savoir si je doute beaucoup?

- Celui qui doute beaucoup le sait très bien. Il suffit que son doute dépasse le doute naturel de ses semblables et il suffit qu'il doute une fois toutes les trois prières.



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