Représentation des Gens de la Demeure



 

249.

De Aicha (s) : «En toute situation, Sa Sainteté le Messager (pslf) se reme­morait Dieu ».

Sahih Muslim. 1/282/117 ; Sunan Al-Tarmidhi, 5/463/3384; Sunan Abi Dawoud, 1/5/18.

 

250.

D'Urwah Ibn Al-Zubeyr: «Assis avec d'autres à la Mosquée du Messager de Dieu (pslf), nous bavardions au sujet des personnes ayant participe à la Bataille de Badr ainsi qu'au sujet de la Prestation du Serment d'Allégeance de Ridhwan. Alors, Abul Darda déclara ceci : «Ô vous, les Gens  Désirez-­vous que je vous rappelle la personne dont la fortune est la plus petite d'entre toutes, la piété la plus élevée et la pratique adorative la plus constante?». Ils demandèrent quelle était cette personne. Abul Darda répondit : «Ali Ibn Abi Taleb (s) ! ». Amali Al-Sadouq, 72/9 ; Rawdhat Al-Wai'dhine, 125; Al­Manaqib de Ibn Chahr Achoub, 2/124.

 

251.

De Abu Salih : «Mouawiyya demanda à Dirar Ibn Damra Al-Kinani de lui décrire Ali (s). Alors, Dirar s'adressant à Mouawiyya, dit: « Ô amir al-mu'minin ! Me pardonneras-tu ?» - Mouawiyya : «Non, je ne t'accorderai aucun pardon! »- Dirar: «Bien! Puisque c'est ainsi ... je prends Dieu à Témoin pour dire que Ali, lorsque la nuit était tombée et que les étoiles étaient apparues, se mettait à parcourir en long et en large son Mihrab, se te­nant la barbe, se tordant le corps comme celui qu'un serpent aurait mordu et versant des larmes comme un homme en peine. Je l'entends encore implorer: «Ô Seigneur! Ô Seigneur! - après avoir imploré L'Omniprésent -, Ali s'adressa à la Vie d'ici-bas: «Crois-tu pouvoir me duper? au attends-tu après moi ? Loin de moi de telles pensées ! Très loin! Au large! Tente de duper quelqu'un d'autre ! Je t'ai abandonnée pour toujours ! Ta vie est ephemère, une union avec toi est toujours de courte durée et le danger que tu constitues est bien réel. Hélas ! Trois fois hélas ! Le voyage est long, le chemin tortueux et les provisions insuffisantes », A ce moment précis, des larmes versées par Mouawiyya tombèrent de sa barbe jusqu'au sol, les es­suyant avec ses manches alors que les présents versaient aussi des larmes. Alors, Mouawiyya demanda : «Bien! Ô Dirar ! Abul Al-Hassan était ainsi ! Ô Dirar ! Quel était la raison de ta douleur à son sujet ? » - Dirar répondit ceci: «La douleur d'une mère dont l'unique enfant est décapité sur sa poi­trine, dont les larmes ne cessent de se déverser et la douleur ne connaitra pas de fin ». Puis, Dirar se leva et partit ».



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