Pphilosophie de l’Islam (Livre 2) 1



ou

«Zawwajtuka nafsî 'alâ-ç-çidâq-il-ma'loum».

Puis l'homme annonce son acceptation du contrat et dit :

«J'accepte», ou en arabe : soit «Qabiltu-n-nikâha», ou «Qabiltut-tazwîja»."

Comme on l'a déjà souligné, une fille ne peut pas être mariée contre sa volonté ni obligée de dire "Oui" par force, sous la menace ou en l'appâtant. De même un garçon ne peut, non plus être forcé de se marier avec une femme qu'il n'aime pas. En règle générale, tout contrat conclu par force ou contrainte est invalide.

 

L'indépendance financière de la femme

Nous savons que dans le système social de l'Islam, les femmes, comme les hommes, sont indépendantes financièrement. Elles peuvent gagner de l'argent par des moyens légaux. Elles ont le contrôle total de leur propriété et peuvent en disposer à leur guise.

Le Coran dit :

«... Les hommes auront le bénéfice de ce qu'ils gagnent, et les femmes auront le bénéfice de ce qu'elles gagnent...». (Sourate al-Nisâ', 4 : 32)

Quant au travail domestique que les femmes effectuent dans la maison de leur mari, il dépend totalement de leur propre volonté, de leur désir, et de leur inclination. Du point de vue religieux et légal, elles ne sont nullement obligées de le faire.(4)

Le Coran dit, dans la Sourate al-Nisâ’ : «Donnez aux femmes leur dot à titre gratuit». (4 : 4)



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