LES COUTUMES DU MARIAGE AU REGARD DE L’ISLAMProphète d’Allah pour demander la main de sa vénérable fille dont Abdoullah Ibn Awf, l’un des hommes les plus opulents de Médina qui, semblable à ses camarades, essuya le refus. Quand il commença à vanter de sa richesse, l’Envoyé de Dieu prit une poignée de sable et la posa sur sa luxueuse tunique. Elle se transforma en lingots d’or. Cette histoire ne nous est pas parvenue simplement pour être racontée. Elle a aussi un message à nous transmettre. Une des interprétations possibles est la suivante : l’Envoyé de Dieu voulut, par ce geste magistral et combien distingué, graver une leçon pour les générations à venir et offrir un bon exemple, notamment aux hommes qui sont à la tête de la communauté, aux notables de Jamat, et, en particulier, aux gens qui roulent sur l’or pour que toutes les couches de la société aient facilement accès au mariage. Il faut éviter les coutumes étrangères qui glissent comme une couleuvre, au nom de l’Islam, à l’intérieur de nos traditions religieuses qui nous dévient du Droit Chemin pour nous mener, par nos actes illicites, sur la voie des mécréants sans qu’on s’en aperçoive. Le Sceau des Prophètes rassembla, d’autre part, toutes les Dames de sa famille, lors des noces de son unique fille, SAYYADA (as), et leur déclara qu’ « aucun péché ne doit être commis à cette occasion parce qu’il a pouvoir d’agir sur les époux. » Ali et Fatima (as) sont des personnes pures. Ils forment un couple saint et béni. L’impureté est loin d’eux. Mais, par cette image, l’Envoyé de Dieu tint à démontrer aux enfants des hommes que si le mari est touché par le vice, celui-ci portera ses effets sur la postérité du couple ainsi constitué. Le péché se caractérise donc par un mal en permanence. Il ne faut jamais le minimiser. Les prétextes ne manquent pas. Les explications affluent de toutes parts. Que l’occasion soit unique ou multiple, en aucun cas le péché n’est permis pas comme l’infraction dans un pays ! C’est plutôt dans de telles occasions où l’homme, d’ordinaire, perd la maîtrise de soi dont la bride est tenue par le maudit Satan qui profite de la situation, que l’Islam demande le plus à ses fidèles de contrôler son NAFS, son « ego » ou son « moi. » Le mariage des enfants ne se concrétise pas chez nous sans avoir préalablement consulté
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