La rencontre de Mûsâ (as) et de Khidhr (as) selon le Coran et les hadiths43 Ibn Bâbûwey (on dit également Ibn Bâbûya) est le père de Shaykh Sâdûq. Son tombeau se trouve à Qom. On y trouve la reproduction, sur un mur, d’une lettre qu’il a reçue de l’Imâm Hasan al-‘Askarî (as), lui annonçant la naissance d’un fils illustre dans le domaine du savoir. (Les notes sont du traducteur et les traductions des passages du Coran de Denise Masson). 44L’Imâm Ja‛far al-Sâdeq (as). 45 Amour-propre, vanité, orgueil. 46 C’est bien naturel puisque c’est là la lettre du Coran… 47 L’ancienne Syrie, qui comprend le territoire aujourd’hui occupé par la Syrie actuelle, le Liban, la Jordanie, la Palestine et Israël. 48 Deux fleuves qui se jettent dans la mer Caspienne. 49 Ancienne région, héritée d’une province romaine et qui correspond aujourd’hui à la Tunisie, au Constantinois algérien et à la Tripolitaine libyenne. 50 Ce qui n’en dit pas beaucoup plus… 51 Celle qui a rendu la vie au poisson. 52 Les Sahîh sont des recueils de hadiths dits authentiques, sûrs. Les quatre Sahîh cités représentent pour les sunnites la base de la Sunna. D’autres recueils viennent ensuite, avec des hadiths faisant davantage l’objet de divergences, voire de doutes. Le corpus des hadiths shiites est beaucoup plus volumineux parce qu’il contient les paroles rapportées des quatorze Ma’sûmîn / Impeccables (as) et non celles du Prophète (s) seul. En réalité, la quasi-totalité des paroles des Ma’sûmîn (as) sont attribuées au Prophète Mohammad (s), et rapportées par Fâtima (as), ‘Ali (as) et leurs descendants. Les quatre Sahîh ne contiennent qu’une dizaine de hadiths rapportés par Fâtima (as), ‘Ali (as), Hasan (as) et Hosayn (as), mais ils en présentent des centaines rapportés par un compagnon de la dernière heure, ce qui est douteux pour les shiites. Quoi qu’il en soit, lorsque les shiites avancent quelque chose, ils se réfèrent souvent aux quatre Sahîh, pour s’assurer de ne pas être mis en doute… 53 C’est étrange : ce hadith lui attribue le même sort que Yûsha‛ (as), après qu’il ait bu de l’eau à la source de la vie. Comme si les êtres à y avoir accès devaient ensuite rester isolés… 54 L’Imâm al-Hosayn (as).
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