LA VERITE SUR LE SHI'ISME LA REFORME Partie 1



Ils voulaient tout simplement indiquer le sens du verset en l’expliquant tel qu’ils l’avaient compris du Prophète, de celui à qui le Livre fut révélé... Quoiqu’il en soit, le consensus et même la nécessité exigent sa légalité dans l’islam et la possibilité d’agir en vertu de cette forme de mariage. Néanmoins, ceux qui la réfutent arguent que le décret fut abrogé et interdit après qu’il eut été autorisé..»

Plus loin viennent de plus amples développements sur le mariage temporaire, sa légalité et son autorisation par les textes coraniques et prophétiques unanimement reconnus par les Musulmans à l’exception de ceux parmi eux qui-comme le dr. El-Mûssawî ou encore le Turkestan Mûssâ Jârullah dans son livre “Al-Washi’a” où El-Mûssawî puisa ses idées et ses impostures-essaient de renier ce qui est admis comme étant nécessaire dans la religion des Musulmans ou d’altérer celle-ci en raison de l’animosité qu’ils nourrissent contre le Shi’isme et ses savants.

Pour ce qui est de l’obligation du quint et de sa légalité, Al-Kâshif-ul-GhitA’ dit dans le même livre:

« Il est obligatoire, pour nous, dans sept éléments: les butins de guerre, les richesses maritimes, les trésors, ... les gains et les bénéfices ... Il est basé sur la parole divine

«Quelque butin (que vous puissiez faire!), sachez que le cinquième en revient à Allah au Prophète, aux proches . . .» (Al-AnfaI 41/VIII). Le Khoms est, pour nous, un droit exigé par Allah le Tout-haut en faveur de la famille de Muhammad (SAW) en compensation de l’interdiction qui lui est faite de percevoir les produits de l’aumône… »

Voici donc ce qui dit M.H.A Kâshif-ul-Ghitâ’ à propos de la légalité du mariage temporaire et de l’obligation de verser le cinquième. Que dira alors le docteur ?

Dira-t-il que le Sheikh a inventé ces deux décrets ou, au contraire, ils font partie des évidences islamiques ?

S’il choisit la première réponse, il taxera alors le Sheikh d’hérésie et d’apostasie, ce qui annulera, sur le coup, son attestation prétendue de l’ljtihad. S’il choisit la deuxième réponse c’est à dire que les deux décrets sont légitimes, lui, qui venait de les renier, il se jugera alors lui-même, du fait qu’il avait mis en doute des certitudes religieuses, comme ayant abjuré sa religion! Que dira-t-il alors ?

Sa méconnaissance des règles grammaticales est une preuve de la nullité de son Ijtihad

Le docteur El-Mûssawî prétend être arrivé au rang de Mujtahid.



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