LES SIGNES DANS LES CIEUX ET SUR TERRE



Les racines de cette philosophie remontent très loin, à l'époque de l'Antiquité et de la Grèce Ancienne.

Tous les philosophes athées qui ont nié la création, ont adhéré directement ou indirectement aux idées évolutionnistes et s'en sont fait les défenseurs. Et il en est de même pour tous les idéologues et promoteurs de systèmes matérialistes hostiles à la religion.

Les notions évolutionnistes ont été revêtues d'un déguisement scientifique depuis environ un siècle et demi afin de tenter de les justifier. Bien qu'étant mise en avant comme une théorie scientifique, elle n'a à ce jour été vérifiée par aucune découverte ou expérience scientifique, en dépit des meilleurs efforts déployés par ses partisans zélés. Bien au contraire la "vraie science", dont la théorie est tellement dépendante, a démontré et continue de démontrer à maintes reprises que cette approche est caduque.

Des expériences menées en laboratoire, ainsi que des calculs de probabilités, ont définitivement spécifié clairement que les acides aminés, d'où la vie a été extraite, ne peuvent pas avoir été formés par hasard. La cellule, qui selon les évolutionnistes a vu le jour par hasard suite à une conjonction de conditions terrestres incontrôlées à une époque très primitive, n'a toujours pas pu être synthétisée à ce jour, même dans les laboratoires les plus avancés et les mieux équipés. On n'a même pas découvert jusqu'à présent un représentant d'une simple "forme transitionnelle", terme cher aux néo-darwinistes et qui désigne une forme intermédiaire d'évolution entre la forme primitive et la soi-disant forme définitive d'aujourd'hui, et ce malgré d'intenses recherches visant à exhumer un fossile répondant à ce critère.

Ainsi, en s'efforçant corps et âme de rassembler des preuves de l'évolution, les partisans de celle-ci ont involontairement contribué à confirmer de leurs propres mains qu'il n'y avait pas eu du tout d'évolution!

La personne qui a mis en avant cette pseudo-théorie, essentiellement sous la forme qui est défendue de nos jours, était un biologiste anglais amateur, Charles Robert Darwin. Darwin commença à publier ses idées dans un ouvrage intitulé The Origin of Species by Means of Natural Selection (De l'Origine des Espèces au Moyen de la Sélection Naturelle) en 1859. Il prétendait dans ce livre que tous les êtres vivants ont un ancêtre commun et qu'ils ont évolué d'une forme à une autre par le biais de la sélection naturelle. Ceux qui se seraient le mieux adaptés à leur habitat auraient transmis aux générations suivantes leurs traits caractéristiques, et en s'accumulant sur de longues périodes ces qualités avantageuses auraient transformé certaines espèces en de nouvelles espèces totalement différentes de leurs ancêtres. L'être humain serait ainsi le maillon le plus évolué produit par le mécanisme de la sélection naturelle. En résumé, toute espèce dériverait d'une autre espèce.

Les idées fantaisistes de Darwin ont été appréciées par certains cercles politiques et idéologiques qui en ont fait la promotion, et cette théorie devint rapidement très populaire. La principale raison de ce succès était que le niveau de connaissances à cette époque-là n'était pas suffisant pour révéler que les scénarios de Darwin étaient purement imaginaires. En effet, les disciplines de la génétique, de la microbiologie et de la biochimie n'existaient pas au temps de Darwin; sinon, Darwin se serait aisément rendu compte du caractère non-scientifique de ses dires, et il n'aurait pas mis en avant de telles absurdités: l'information déterminant les espèces est déjà contenue dans les gènes, et il est impossible à la sélection naturelle de produire de nouvelles espèces en provoquant l'alternance des gènes.

Tandis que le livre de Darwin rencontrait un écho grandissant un botaniste autrichien, George Mendel, découvrait les lois de l'hérédité en 1865. Bien que peu diffusée jusqu'à la fin du dix-neuvième siècle, la découverte de Mendel prit un jour nouveau au début du siècle suivant avec la naissance de la génétique. Quelque temps après ont été mis en évidence les gènes et les chromosomes. La découverte, en 1950, de la molécule d'ADN, qui incorpore des informations génétiques, a plongé la théorie de l'évolution dans une crise profonde, parce que cet amas d'informations que constitue l'ADN ne peut être expliqué par un quelconque concours de circonstances.

En plus de tous ces développements scientifiques, aucune entité se rattachant aux formes transitionnelles, qui étaient supposées démontrer l'évolution graduelle d'organismes vivants depuis le stade primitif jusqu'à un stade avancé, n'a été trouvée malgré des années de recherche.

Tous ces nouveaux éléments auraient dû suffire pour faire tomber la théorie de Darwin dans les oubliettes de l'histoire. Pourtant, tel n'a pas été le cas car certains cercles ont insisté pour que cette théorie soit révisée, rénovée et élevée au rang de plate-forme scientifique. Ces efforts revêtent une signification lorsqu'on sait que derrière cette théorie se cachent des arrières-pensées idéologiques plutôt que des préoccupations scientifiques.



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