La philosophie de l’Imâmat chez Mollâ Sadrâ19- C'est ainsi que Henry Corbin traduit l'expression arabe « asâlat al-wujûd ». 20- Nihâyat al-Hikma, première étape, section 3. Auteur : Tabâtabâ'î, Muhammad Hussein ; ouvrage en trois volumes. 21- Gloses du grand savant Seyed Haydar Amolî, (né en 1311, mort en 1385 de l'ère chrétienne), commentateur du Fusûs, en marge du Sharh-e manzûmeh de Mollâ Hâdî Sabzevârî, vol. 2, p. 294. 22- La catégorie de matière la plus vile. 23- Asfâr, Vol. 7, p. 179 24- Ibid. 25- Ce poème figure dans les Tarâyeq al-Haqâyeq, volume 2, p. 179. C’est un ouvrage de spiritualité parsemé de citations de beaux poèmes en persan et de mots de maîtres en persan et en arabe, de l’auteur iranien du XIXe siècle, Ma’sûm 'Alî-Shâh. Ce dernier ne cite pas toujours ses sources et ne mentionne pas toujours l’auteur des poèmes. 26- (en persan : Fass-e Es’haaqi : Ùص اسØاقی) le mot fass, au pluriel fusûs, signifie en arabe un chaton, c'est à dire la partie d'une bague où s'enchâsse une pierre précieuse. 27- Gilis, Charles-André, Le Livre des Chatons des Sagesses (Traduction française du Fusûs al-Hikam d’Ibn Arabi) en deux tomes, al-Bouraq, Beyrouth et Paris, 1997. Le passage cité figure dans le tome premier, p. 193. 28- Ce titre désigne, rappelons-le, Sohrawardî d’Alep. Shahâb al-Dîn Yahyâ al-Sohrawardî (en persan : شهاب الدين ÙŠØيى سهروردى), grand philosophe de tendance gnostique, est né en 1155 à Sohraward en Iran. Il a été condamné à mort par quelques juristes qui le firent assassiner le 29 juillet 1191 à Alep, en Syrie. Voici d’où vient son surnom : al-Shaykh al-Maqtûl, c'est-à -dire « le Maître assassiné ».
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