LE PROPHTE JSUS (PSL), UN PROPHTE, PAS LE FILS DE DIEULe Coran révèle certains de Ses titres, qui rejettent totalement ces croyances erronnées : Dis : “Il est Allah, Unique. Allah, le Seul à être imploré pour ce que nous désirons. Il n’a jamais engendré, n’a pas été engendré non plus. Et nul n’est égal à Lui.†(Sourate al-Ihlas, 1-4) C’est la vérité. Allah est Unique et le Prophète Jésus (psl) est Son serviteur et Prophète, de même que le Prophète Abraham (psl), le Prophète Moïse (psl), le Prophète Muhammad (pbsl), et tous les autres Prophètes (pse). La croyance en la trinité a émergé des siècles après le Prophète Jésus (psl) Les Chrétiens croient en la Sainte Bible qui se compose de l’Ancien Testament (la Torah) et du Nouveau Testament (l’Evangile). Bien que ces textes aient été corrompus, on peut encore y trouver quelques faits sur le Christianisme, les règles sur la façon dont les Chrétiens doivent vivre, et des exemples de valeurs morales chrétiennes. Cependant, aucun passage biblique ne mentionne la croyance en la trinité, et ni ce mot ou un autre qui pourrait lui ressembler n’apparaît dans l’Evangile. La New Catholic Encyclopedia (Nouvelle Encyclopédie Catholique) déclare que la trinité était inconnue aux premiers Chrétiens, et a seulement pris forme dans le quatrième siècle : Il est difficile, dans la seconde moitié du 20ème siècle, d’offrir un compte-rendu clair, objectif et franc de la révélation,... et l’élaboration théologique du mystère de la trinité. Les débatteurs de la trinité, les Romains Catholiques, et d’autres personnes, présentent une silhouette quelque peu instable ... Les théologiens et exégètes bibliques, ainsi qu’un grand nombre de plus en plus important de Romains Catholiques, ont reconnu qu’on ne devrait pas parler de trinitarisme dans l’Evangile sans de sérieuses qualifications. D’autres personnes ont étroitement reconnu en parallèle que lorsque l’on parlait sans réserve du trinitarisme, on passait de la période des origines chrétiennes, c’est-à -dire, au dernier quadrant du quatrième siècle. C’est seulement à partir de ce moment-là que l’on peut appeler le dogme trinitaire définitif “Un Dieu en trois personnes†et dire que celui-ci s’est complètement intégré à la vie et à la pensée chrétiennes. 2 Le trinitarisme est seulement devenu le dogme de l’Eglise au quatrième siècle. Avant cela, il y avait eu de longs débats entre ses partisans et ses détracteurs. Ces débats ont été le point culminant au Concile de Nicée en 325. Le Concile de Nicée (325), le plus grand rassemblement de représentants de l’Eglise en ce temps, a réuni plus de 300 membres du clergé de Rome, d’Asie Mineure, de Syrie, de Phénicie, de Palestine et d’Egypte. Ces membres ont été appelés par l’Empereur Romain Constantin Ier qui a voulu mettre fin à ce débat séparatiste pour la sécurité et le futur de Byzance. Lors de ce Concile, la croyance, qui constituait la base du Christianisme, a été définie pour la sécurité de l’Empire, selon une décision prise par des êtres humains. Saint Grégoire de Nicée décrit les débats suivants en ces termes (Allah est bien au-dessus des expressions employées dans cet extrait) : De nombreux débats circulaient à travers chaque recoin de Constantinople : les rues, la place du marché, les magasins pour changer la monnaie, les fournisseurs ... Demandez à un marchand combien il veut d’oboles pour un certain article dans sa boutique, et il se lance dans un discours sur l’être engendré et non engendré. Demandez le prix du pain aujourd’hui et le boulanger vous dit : “Le fils est subalterne au pèreâ€. Demandez à votre serviteur/servante si le bain est prêt et il/elle vous répond : “Le fils a surgi du néantâ€. “Grand est le seul Engendréâ€, déclare les Catholiques, et les Ariens reprirent : “Mais plus grand est Celui qui engendreâ€. 3 Constantin Ier a permis aux Chrétiens de l’Empire une liberté considérable de croyance et de culte, malgré le fait qu’il n’était pas Chrétien, et a continué à protéger les croyances païennes traditionnelles de Rome. Dans sa quête pour promouvoir les intérêts de l’Empire, il a travaillé sur un compromis entre les différentes religions, notamment le culte de Sol Invictus, basé sur l’adoration du Soleil, et le Christianisme. Préoccupé par la façon dont les Chrétiens s’étaient embarqués sur un débat théologique interne au moment même où il essayait de réunir les religions, il a rassemblé ce concile. D’un côté, on trouvait ceux qui croyaient que le Prophète Jésus (psl) était Allah fait de chair sur Terre (Allah est bien au-dessus de cela). Le chef de ce groupe était Athanase, un évêque d’Alexandrie. De l’autre côté était le célèbre prêtre égyptien Arius.
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