DOU'A KUMAYLÙَبÙعÙزَّتÙÙƒÙŽ ياسَيّÙدي وَمَولايَ اÙقسÙم٠صادÙقاً
C’est pourquoi, O Mon Maître et Mon Souverain, je jure sincèrement, par Ton Autorité, (la’in taraktanî nâtiqan la-adhijjanna bayna ahlihâ dhajîj-al-âmilîn-a) لَئÙÙ† تَرَكتَني ناطÙقاً لأََÙضجَّنَّ اÙلَيكَ بَينَ اَهلÙها ضَجÙيجَ الآمÙلينَ
que si Tu me laissais y parler, j’y soulèverais auprès de ses habitants, un vacarme semblabe au vacarme de ceux qui vivent dans l’espoir, (wa la-açrokhanna ilayka çorâkh-al-mostaçrikhîn-a) وَلاَصْـرÙخَنَّ اÙلَيـْكَ صÙراخَ المÙستَصرÙخَينَّ
et j’y lancerais vers Toi les cris de ceux qui crient au secours, (wa la-abkiyyna `alayka bokâ’-al-fâqidîn-a) وَلأَبْكÙيَنَّ عَلَيكَ بÙكآءَ الÙَاقÙدينَ
et j’y pleurerais sur Toi comme ceux qui pleurent leurs disparus. (wa la-onâdiyannaka ayna konta yâ waliyy-al-mo’minîn-a) وَلاَÙنَاديَنَّكَ اَينَ ÙƒÙنتَ ياوَلÙيَّ المÙؤمÙنينَ
et je T’appellerais, où que Tu sois, O Seigneur des fidèles! (yâ ghâyata âmâl-il-`ârifîn-a)
|