APPEL A L’UNION ISLAMIQUEDans cette section, nous examinerons sommairement ces trois points essentiels. La première étape insurmontable: l'origine de la vie La théorie de l'évolution se base, en principe, sur le fait que toutes les espèces vivantes se sont développées à partir d'une cellule vivante unique qui est apparue sur terre il y a 3,8 milliards d'années. Mais la théorie de l'évolution ne peut répondre au fait de savoir comment une seule cellule a pu produire des millions d'espèces vivantes aussi complexes. Et si une telle évolution s'est vraiment produite, pourquoi les traces de cette évolution ne peuvent-elles être observées dans les archives fossiles ? Mais, tout d'abord, nous devons analyser le premier stade du processus évolutionniste présumé. Comment est apparue cette "première cellule" ? Comme la théorie de l'évolution nie la création et n'accepte aucune sorte d'intervention surnaturelle, elle entretient l'idée que "la première cellule" était accidentellement née suivant les lois de la nature, mais sans aucune conception préalable, ni plan, ni arrangement d'aucune sorte. Selon cette théorie, la matière inanimée doit avoir produit accidentellement une cellule vivante. C'est, hélas, une revendication incompatible avec les règles élémentaires des sciences biologiques. "La vie vient de la vie" Dans son livre, Darwin n'a jamais mentionné l'origine de la vie. Les connaissances scientifiques primitives de son époque étaient fondées sur la supposition que les êtres vivants avaient une structure très simple. Depuis les temps médiévaux, la génération spontanée est une théorie largement partagée. Elle affirme que des matières non vivantes s'associent pour former des organismes vivants. On croyait ainsi que les insectes naissaient des restes de nourriture et que les souris provenaient du blé. Des expériences intéressantes ont été conduites pour tenter de démontrer, en vain, la véracité de cette théorie. Du blé a été placé sur un chiffon sale dans l'espoir que des souris en sortent au bout d'un moment, mais sans succès. L'apparition de vers sur de la viande a, par contre, été considérée à tort comme une preuve de génération spontanée. Or, quelque temps plus tard, il est devenu manifeste que les vers n'apparaissaient pas sur la viande spontanément, mais y étaient transportés par des mouches sous forme de larves, invisibles à l'œil nu.
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