LES DROITS DE LA FEMME EN ISLAM



l'homme cherche le sexe et la femme cherche lamour. l'homme est soumis à son besoin sexuel, alors que la femme, daprès les psychologues, possède une plus grande capacité à contrôler et à dissimuler ses désirs. c'est la mélodie de lamour, la sincérité et la fidélité qui subjuguent la femme et la font sagenouiller. c'est ce qui signifie la crédulité de la femme.

tant que la femme est vierge et qu'elle na pas d'expérience avec un homme, elle peut être facilement leurrée par des rêves damour.

le professeur reeck, un psychologue américain, dit que la meilleure phrase qu'un homme puisse dire à une femme, c'est : «chérie, je taime». il dit que la bonne chance pour une femme, c'est de pouvoir gagner le cur d'un homme et de le retenir toute sa vie.

le saint prophète, ce psychologue divin, a exprimé clairement cette vérité il y a 1400 ans. il a dit que si un homme exprime son amour à une femme, celle-ci n'oubliera jamais sa déclaration.

les hommes qui cherchent toujours à séduire une femme exploitent pleinement ce sentiment familial. les mots : «je taime à mourir» sont le meilleur appât pour séduire une femme qui na pas eu d'expérience avec un homme.

c'est pourquoi il est essentiel qu'une fille sans expérience sexuelle consulte son père et obtienne son consentement avant de contracter un mariage. les pères connaissent mieux la mentalité des hommes et pensent, sauf dans certains cas exceptionnels, à l'intérêt de leurs filles. donc la loi qui exige le consentement du père ici, ne méprise pas la femme, loin de là, elle cherche seulement à la protéger. objecter à la nécessité d'obtenir le consentement du père lors du mariage de sa fille vierge et inexpérimentée est plus illogique que s'interroger sur le fait de savoir pourquoi le consentement du père ou de la mère na pas été rendu nécessaire dans le cas des garçons.

je m'étonne comment les gens qui entendent chaque jour les conséquences dramatiques des histoires damour libre entre les garçons et les filles, continuent de conseiller à celles-ci de se révolter et de ne pas écouter les conseils de leurs parents protecteurs.

a mon avis cette attitude équivaut à une sorte de complicité entre ceux qui prétendent avoir de la sympathie pour la cause de la femme et les coureurs de jupons. les premiers préparent en fait le terrain aux seconds et leur facilitent le travail.

la fille a une option absolue concernant son mariage. seulement, cette option dépend du consentement du père, mais à condition que celui-ci ne sabstienne pas de le donner par mauvaise intention ou parce qu'il n'est pas compétent pour émettre un jugement adéquat, pour une raison ou une autre. qu'est-ce qu'il y a de mal dans une telle règle que l'islam a instaurée, ou comment peut-on considérer cette règle comme étant contre le concept fondamental de la liberté humaine ? cette règle est une précaution juste pour sauvegarder l'intérêt des filles inexpérimentées et une sorte de prévention contre une tendance naturelle de l'homme à vouloir satisfaire ses désirs.

a cet égard aucune objection ne se justifie à cette loi islamique telle que nous venons de la comprendre. ce à quoi on peut objecter, ce sont de mauvaises coutumes qui prévalent chez les musulmans. en effet, beaucoup de pères continuent de croire, à tort, qu'ils ont une autorité absolue sur leurs filles, et que si celles-ci donnent leur avis sur le choix de leurs partenaires (qui sont censés devenir les pères de leurs futurs enfants), il sagit d'une sorte d'insolence et d'incorrection. ils ne prêtent pas suffisamment attention à la maturité de la fille, alors que l'opinion de celle-ci constitue selon la loi islamique une nécessité indiscutable. beaucoup de mariages se déroulent avant que la mariée natteigne la maturité, et sont de ce fait légalement invalides et nuls. dans la plupart des cas on ne vérifie pas si la fille est déjà mûre ou non, et on a tendance à croire que la puberté de la fille suffit pour que son mariage soit valide. mais nous savons ce que les grands juristes ont écrit sur la nécessité et les critères du test de la maturité des filles. certains juristes ont posé comme condition de la validité du mariage de la fille, sa maturité religieuse également. ils ont soutenu que seules les filles qui connaissent les principes de la religion et qui savent faire des raisonnements intellectuels sur les fondements de la religion sont aptes au mariage. malheureusement, la plupart des parents (ou tuteurs) et de ceux qui président aux cérémonies religieuses du mariage ne respectent pas ces conditions.



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